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AUXEMÉRY ![]() Source ■ Jean-Paul Auxeméry sur Terres de femmes) ▼ → petits animaux → tes haillons, bonhomme… (extrait de Failles/traces) |
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Etrange poésie d'une écriture qui m'est révélée par "ce feu acerbe" des mots dissous dans "l'eau lâche" de l'absence... Suivre les petits cailloux semés par Angèle, et dans les liens, par Florence, pour rencontrer Jean-Paul Auxeméry.
Pour lui, quelques mots de plumes tendres, celles qui tombent des silences, des tendresses qui renouent les eaux primales de l'amour, qui recueillent les feux errants pour ensemencer la nuit froide et son cortège de soupirs. Pour lui, un chant d'aurore et de tendresse vigilante. Elles sont là ces bouches orantes, toutes douceurs accordées...
Rédigé par : Christiane | 03 décembre 2008 à 09:22
"la mort dissout les êtres"
Pas que la mort... ou alors toute absence est une mort... :-/
Rédigé par : agnès | 03 décembre 2008 à 10:18
Agnès, je vois que tu tentes une percée au-delà de l'absence. Ce dont tes mots parlent, je l'ai vécu au plus près, au plus profond. Je connais la douceur qu'il y a à se laisser mourir dans le silence.
Christiane, la poésie d'Auxeméry est une poésie étrange ! Poésie "primipare", totémique, propitiatoire ! A lire dans le silence de la nuit pour permettre aux grandes voix animales de lancer leur rut vers les étoiles ! Et aux mythes de nous donner à lire leur langage crypté !
Rédigé par : angelepaoli | 04 décembre 2008 à 18:55