Toi qui rêves l’or bleu des montagnes dessine aussi les limites du ciel la vie le temps sur nous s’enlacent tressent leurs traces et puis s’effacent |
D.R. Photo et texte : G.AdC/angèlepaoli
Édition et mise en pages : Yves Thomas
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Pas de décor, un coin de ciel bleu qui représente des kilomètres de ciel bleu, d'une grande simplicité, comme à l'Opéra de Pékin où les acteurs ouvrent une porte imaginaire, montent dans des voitures invisibles ...
La simplicité et la concision dans ce cliché, un détail ici - on ouvre une porte.
Rouge, sur la rétine. L'impression et la chose, chère Angèle. Quoi d'autre ?
Rédigé par : Deborah Heissler | 11 novembre 2008 à 12:25
Quoi d'autre encore, chère Déborah ? Un godet de poudre de guède où plonger le pinceau agile, un labyrinthe sans commencement ni fin pour partager une marelle du ciel, une porte "gondée" à droite pour jouer à "Alice y es-tu", par-delà mers et nuages, et te rejoindre en Chine !
Rédigé par : Angèle Paoli | 11 novembre 2008 à 15:16
Je serais tellement heureuse de pouvoir t’y accueillir, chère Angèle !
Je dois avouer que je consulte avec plaisir Tdf – Italie, Tunisie, étape par étapes ces derniers jours - l’ayant également conseillée à mes étudiants intéressés de poésie, d’Europe et d’ailleurs - quasi monomaniaque aussi, il faudra m’excuser, à ne m’attacher qu’à ces « Rouges de Chine », tant cette Chine, Beijing, me fascinent aujourd’hui ! Mais je suis certaine que tu me comprendras.
Chaleureusement,
Deborah
Rédigé par : Deborah Heissler | 12 novembre 2008 à 07:06