CLAUDE BER Ph.© Adrienne Arth Source ■ Claude Ber sur Terres de femmes ▼ → Épître Langue Louve (note de lecture d’AP) → Il y a des choses que non (note de lecture d’AP) → In memoriam (extrait d’Épître Langue Louve) → La mort n'est jamais comme (note de lecture d’AP) → Je dis mer (extrait de La mort n’est jamais comme) → [Toujours la langue veut dire] (extrait du recueil Il y a des choses que non) → Vues de vaches (note de lecture d’AP) → Claude Ber, Pierre Dubrunquez, L’Inachevé de soi (note de lecture d’AP) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) le miel à la bouche ■ Voir aussi ▼ → le site de l’écrivain Claude Ber |
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La mer de Claude Ber est une femme voluptueuse offerte à la jouissance d'une langue charnue et juteuse comme un fruit défendu. Elle est étrangère aux grands orages meurtriers d'Hugo, à celle mystique de Chateaubriand, à celle effrayante de Poe, à celle culbutant le "bateau ivre" de Rimbaud ou au tombeau des marins de Loti.
Au long de ces notes de voyageuse Une femme rencontre son double sensuel et invente son corps pour des noces d'écriture...
Rédigé par : Christiane | 13 novembre 2008 à 15:12
Que c'est inventif ! Que c'est beau.
Rédigé par : Pascale | 13 novembre 2008 à 18:36
Incommensurable_____
interminable rhapsodie tendue sur le vide
vertige simultané d’obsessions récurrentes
sur l’horizon factice de l’avenir supposé
la mer à cet endroit s’abîmait de magnificence
récusant les présages des prophètes de l’infini
il fallut bien admettre que l’abstraction proférée au front des marins signifiait l’universelle condition des humains
Amicizia
Guidu___
Ps : c’est ce que j’ai vu dans votre belle photographie, chère Angèle
Rédigé par : Guidu | 13 novembre 2008 à 20:55
Je me laisse bercer.
Angèle et Christiane, je vous embrasse.
Je n'ajoute rien. Nul besoin.
Ce sourire de Claude m'invite à sourire aussi.
;o)
Rédigé par : Alistrid | 13 novembre 2008 à 21:48
J'aime beaucoup ces chemins qui divergent entre Guidu-photo et Claude Ber-poème. Ce sont deux voies (voix) de Terres de Femmes auxquelles vous êtes profondément accordée. Je trouve des instants de pure beauté dans l'alliance des "Rouges de Chine" entre vos deux espaces de création. Aujourd'hui, ce noir et blanc incisif vous est morsure de sel...
Rédigé par : Christiane | 14 novembre 2008 à 11:37