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je voulais t’avaler, je te regarde, je
n’en reviens pas j’y reviens pourtant je viens |
FABIENNE COURTADE ■ Fabienne Courtade sur Terres de femmes ▼ → Table des bouchers, poésie (note de lecture d'AP) → 19 août 2004 | Fabienne Courtade, le cœur bat très vite (extrait de Table des bouchers) → Rien ne nous précède (extrait de Ciel inversé) → [le fleuve s’entend au loin] (extrait de Corps tranquille étendu) → (dans l'anthologie poétique Terres de femmes) poème inédit [sans titre] |
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à l'attention de Fabienne Courtade
Madame bonjour,
peut-être nous sommes-nous rencontrées, il doit y avoir une dizaine d'années à Massy-Palaiseau où nous aimions échanger.
J'aimerais que ce soit vous, et non une homonyme. Si je tente cette recherche, c'est que votre sensibilité était déjà à fleur de peau.
Peut-être aurai-je le plaisir d'échanger à nouveau.
quoi qu'il en soit
bien cordialement
Rédigé par : Claudine Averty | 26 novembre 2010 à 17:20