Commentaires sur <BR><FONT COLOR="#330033"> Christian Bobin, <EM>La Dame blanche</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"> <BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli </FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>TypePad2008-02-22T18:07:06ZAngèle Paolihttps://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/tag:typepad.com,2003:https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2008/02/christian-bobin/comments/atom.xml/christiane a commenté sur '<BR><FONT COLOR="#330033"> Christian Bobin, <EM>La Dame blanche</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"> <BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli </FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20153917323b9970b2011-09-09T08:38:50Z2011-09-09T08:38:50ZchristianeJe relis cette note de lecture si profonde et ouvrant Un visa donné à la parole - Trente ans d'édition...<p><br />Je relis cette note de lecture si profonde et ouvrant <em>Un visa donné à la parole</em> - Trente ans d'édition (La Dogana), feuilletant ce catalogue détaillé de tous les livres édités par ces éditions La Dogana créées à Genève en 1981, je lis à nouveau certaines notes de lectures en harmonie avec les vôtres, Angèle.<br />
Ainsi en 1986 à propos de la parution de <em>Quarante-sept poèmes</em> d'Emily Dickinson (Traduction de Ph. Denis & texte anglais en regard), Anne Perrier écrit ces lignes :<br />
"Cette petite américaine d'il y a cent ans vécut recluse en poésie, loin des salons à la mode, loin des joutes littéraires. dans le silence et la solitude, elle écrivait, elle savait l'importance de la tâche, elle disait : "Avant l'abeille/ les fleurs sont négatives"; et puis encore, elle savait la simplicité absolue de l'état de poète, ou, comme je l'ai dit, la pauvreté profonde, celle du coeur qui a compris... que tout est grâce."<br />
Voilà ce dit d'elle et j'ajoute : de... vous.<br />
<br /><br /></p>christiane a commenté sur '<BR><FONT COLOR="#330033"> Christian Bobin, <EM>La Dame blanche</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"> <BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli </FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20133f276acf0970b2010-07-22T08:05:36Z2010-07-22T08:05:36ZchristianeAh, ça alors ! encore une strate de Terres de femmes, inconnue ! J'aime ces commentaires qui renvoient à des...<p>Ah, ça alors ! encore une strate de <em>Terres de femmes,</em> inconnue ! J'aime ces commentaires qui renvoient à des pages inexplorées. Ainsi, je ne savais pas que vous aviez abordé aux rivages méditatifs de <em>La Dame blanche</em> de Christian Bobin !<br />
J'ai ouvert, à nouveau, ce livre étrange et j'ai retrouvé une phrase que j'avais soulignée pour y revenir :<br />
"La tyrannie du visible fait de nous des aveugles. L'éclat du verbe perce la nuit du monde." (p. 106)<br />
Alors que je découvrais cette lettre où la beauté travaille et rayonne de Jean Malrieu en ce 22/07/2010. Tous deux ont cette approche de la lumière chère à Rembrandt. Orpailleurs de l'invisible, effraction pour eux dans la clôture du langage, lents remuements des mots... Tremblante vocation de l'étincelle. <br />
Merci à Marie d'avoir rouvert les commentaires sur Emily Dickinson.<br />
<br /></p>Angèle Paoli a commenté sur '<BR><FONT COLOR="#330033"> Christian Bobin, <EM>La Dame blanche</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"> <BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli </FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200e550ab61ae88342008-03-04T12:15:02Z2008-03-04T14:06:33ZAngèle Paolihttp://terresdefemmes.blogs.comEtrange ce Christian Bobin! Il déclenche chez certains une allergie (prurit ?) immédiate (pour Pierre Jourde, il est "le ravi...<p><br />Etrange ce Christian Bobin! Il déclenche chez certains une allergie (prurit ?) immédiate (pour Pierre Jourde, il est "le ravi de la crèche" de la littérature) et chez d'autres, une inépuisable tendresse.<br />
Entre les deux extrêmes, je choisis plutôt le second. Entre la Dame blanche et lui, c'est vrai, ce qui m'a tellement marquée, c'est cet accord parfait. </p>Viviane a commenté sur '<BR><FONT COLOR="#330033"> Christian Bobin, <EM>La Dame blanche</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"> <BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli </FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200e55076016288332008-02-25T17:06:14Z2008-02-25T17:36:24ZVivianehttp://www.vlamarlere.com/Cet hommage m'a fait monter les larmes aux yeux d'abord parce que tes mots épousent à leur tour ceux de...<p><br />Cet hommage m'a fait monter les larmes aux yeux<br />
d'abord parce que tes mots épousent à leur tour ceux de ces deux livres<br />
ensuite Bobin dont la sensibilité nous touche tous (<em>Lettres d'or, La plus que vive,</em> quelle splendeur...)<br />
et puis une fois encore une découverte<br />
lumineuse<br />
intense<br />
pleine de vibrations<br />
merci...</p>Stefanu Cesari a commenté sur '<BR><FONT COLOR="#330033"> Christian Bobin, <EM>La Dame blanche</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"> <BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli </FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200e5507accd088342008-02-22T20:23:54Z2008-02-22T21:55:56ZStefanu Cesarihttp://gattivi-ochja.blogspot.comA billezza ci pesa 'n i so braccia, ci porta calchì breva stunda à l'alturra 'llu so visu, com' a...<p><br />A billezza ci pesa 'n i so braccia, ci porta calchì breva stunda à l'alturra 'llu so visu, com' a fàcini i mammi incù i ziteddi minureddi par abbraccià li, è po, senza privena, ci poni in tarra, 'n a noscia vita di cascaturi - com' a fàcini i mammi.</p>
<p>La beauté nous soulève dans ses bras, nous porte quelques instants à la hauteur de son visage, comme font les mères avec les tout petits enfants pour les embrasser, et puis, sans prévenir, elle nous repose à terre, nous remet à notre vie trébuchante - comme font les mères.</p>
<p>Christian Bobin, <em>La Présence pure</em> Poésie/Gallimard, 2008.</p>
<p>J'ai une tendresse particulière pour Christian Bobin...</p>
<p>amicizia</p>
<p>Stefanu</p>