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...de la simple présence pour que le jour se lève et que ce soit l’aurore / il faudrait / il faudrait / on ne sait pas tous les désormais qui sommeillent en nous / comme nous ne verrons jamais la lumière en face sans peur de disparaître dans sa violence...
C'est au moins la 4e fois que je relis ce texte . Il crée en moi un appel d'air, une violente résonance. Il cherche un écho que je lui refuse. Troublée.
Rédigé par : agnès | 29 janvier 2008 à 15:40
C'est un très beau texte, très profond, qui ne se laisse ni saisir ni enfermer. Et qui nous happe, toi et moi, mais d'autres aussi, sans doute. Il faudrait le mettre à plat, pour le déplier, comme la lumière dont il se fait l'écho et déplier aussi, dans le même temps les multiples efflorescences qu'il libère en surface, comme des ondes, légères mais pas vraiment, comme ça, sans en avoir l'air. C'est Jeanne Bastide. C'est elle, dans ce tremblé de l'écriture.
Rédigé par : Angèle Paoli | 29 janvier 2008 à 22:16