Ph., G.AdC CELLE QUI DORT… Celle qui dort inquiète au profond de toi, la petite effrayée invincible, sais-tu que je la touche parfois sans la tenir, même en rêve, où nous pleurons Jean-Charles Vegliante, Les Oublies, Obsidiane, Collection Les Solitudes*, 1994, page 42. _______________________________________ * Dans la même collection Les Solitudes a paru, en 1991, un autre recueil de Jean-Charles Vegliante : Sonnets du petit pays entraîné vers le nord. |
JEAN-CHARLES VEGLIANTE Source ■ Jean-Charles Vegliante sur Terres de femmes ▼ → [Un petit garçon passe] (extrait de Fragments de la chasse au trésor) → [Au fond de moi est un animal sauvage] (extrait d’Où nul ne veut se tenir) → [La lente] [L’étourdie] [L’Africaine] → Fenêtre (extrait de Trois cahiers avec une chanson) → Où nul ne veut se tenir (lecture de Joëlle Gardes) ■ Voir aussi ▼ → (sur Recours au Poème) une notice bio-bibliographique sur Jean-Charles Vegliante (+ 6 poèmes choisis) |
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Quella che dorme inquieta nel tuo profondo
essere, la piccola impaurita invincibile,
sai talvolta la tocco senza tenerla,
anche in sogno, dove siamo in lacrime.
trad. rita r. florit e alfred
Rédigé par : rita r. florit | 10 octobre 2007 à 19:12
Waouu! bravissimi ragazzi! Che piacere leggere una traduzione a quattro mani e due voci amiche. Mi piace, sono felicissima.
Rédigé par : Angèle Paoli | 10 octobre 2007 à 22:19
http://lessness.splinder.com/post/16597789/Nel+lutto+della+luce>salut
a.
Rédigé par : alfred | 04 avril 2008 à 23:23