Commentaires sur <BR>Roberto Veracini | La Città-Nave<BR><BR>TypePad2007-02-25T23:03:00ZAngèle Paolihttps://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/tag:typepad.com,2003:https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2007/02/roberto_veracin/comments/atom.xml/Angèle Paoli a commenté sur '<BR>Roberto Veracini | La Città-Nave<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200d834e75cd753ef2007-02-27T10:28:56Z2007-08-21T19:17:19ZAngèle Paolihttp://terresdefemmes.blogs.comOui, clem, je me souviens de ce soir-là, de votre attente sur un banc aux abords de la gare... inhospitalière....<p>Oui, clem, je me souviens de ce soir-là, de votre attente sur un banc aux abords de la gare... inhospitalière. Je me souviens aussi de vous, blottie dans votre manteau bleu nuit, assise-là dans l'attente de mots. Je ne sais plus ce que je vous ai dit ni de quoi nous avons parlé. Peut-être de nos attentes lointaines et des mots à venir, ceux qui franchissent montagnes et mers et défient le temps sans visage.<br />
Le petit nuage de mots est là, à portée de nos mains. Merci, clem, bonne journée à toi.<br />
</p>Giacomo Cerrai a commenté sur '<BR>Roberto Veracini | La Città-Nave<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200d834e75c3853ef2007-02-27T09:55:46Z2007-08-21T19:24:21ZGiacomo Cerraihttp://ellisse.altervista.orgBene, la traduzione in francese, molto ben fatta, della poesia di Roberto aggiunge una musica speciale a un testo già...<p>Bene, la traduzione in francese, molto ben fatta, della poesia di Roberto aggiunge una musica speciale a un testo già molto interessante...</p>clem a commenté sur '<BR>Roberto Veracini | La Città-Nave<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200d8351c701469e22007-02-26T16:18:27Z2007-08-21T18:02:16ZclemA Angèle, Pour arriver à la gare, Souvenez-vous, j’avais franchi les montagnes Pour arriver dans la nuit Souvenez-vous, j’avais pris...<p>A Angèle, </p>
<p>Pour arriver à la gare, <br />
Souvenez-vous, j’avais franchi les montagnes <br />
Pour arriver dans la nuit<br />
Souvenez-vous, j’avais pris mon manteau <br />
Un manteau bleu nuit <br />
Et là, j’avais attendu, <br />
Combien de temps avais-je attendu ?<br />
Je franchissais les montagnes inhospitalières <br />
De la nuit, seule dans la gare <br />
Et entourée de la foule impassible, <br />
J’étais assise sur un banc, <br />
Le banc de l’attente éternelle<br />
Et vous êtes arrivée, chère Angèle <br />
Vous m’avez ouvert la porte de votre monde <br />
C’était la porte des mots, ceux qui ne <br />
Rebondissent plus contre un mur, <br />
Ceux qui sont entendus et lus. <br />
J’ai quitté la gare un soir, un matin <br />
Et enlevé le manteau bleu nuit <br />
Celui qui me séparait du jour et de la lumière<br />
Et de mes mains, j’ai ouvert la porte <br />
Du monde des mots <br />
Aujourd’hui, je vous offre ce petit nuage <br />
De mots<br />
Le recevrez-vous ? <br />
clem</p>