Commentaires sur <BR>27 juillet 1839 | Emily Jane Brontë, Mild the mist upon the hill<BR><BR>TypePad2006-07-27T07:38:15ZAngèle Paolihttps://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/tag:typepad.com,2003:https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2006/07/27_juillet_1839/comments/atom.xml/Angèle a commenté sur '<BR>27 juillet 1839 | Emily Jane Brontë, Mild the mist upon the hill<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200d834a2f87953ef2006-07-27T16:38:29Z2007-08-16T23:47:10ZAngèlehttp://terresdefemmes.blogs.comMerci de cette évocation, Pascale. Elle ravive des souvenirs auxquels je suis restée très attachée. Je n'ai pas eu l'occasion...<p>Merci de cette évocation, Pascale. Elle ravive des souvenirs auxquels je suis restée très attachée. Je n'ai pas eu l'occasion de me promener dans les "Moors" hors saison. Mais déjà, à l'époque où j'ai séjourné dans le Yorkshire, l'été de mes dix-sept ans, j'avais été très impressionnée par la lande. Et bien sûr, je ressentais et recherchais la présence fluide et sauvage de Heathcliff et de Cathy. Je m'attendais à tout moment à les voir surgir, échevelés, au détour d'une de leurs escapades, passionnés et terribles. J'aurais aimé alors que les vents hurlent sur les "Moors".</p>Pascale a commenté sur '<BR>27 juillet 1839 | Emily Jane Brontë, Mild the mist upon the hill<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200d834d8356369e22006-07-27T08:24:37Z2007-08-16T23:23:18ZPascaleHeureuse de retrouver Emily ici, Emily qui a su si bien rendre l'atmosphère pesante, été comme hiver, de Haworth et...<p>Heureuse de retrouver Emily ici, Emily qui a su si bien rendre l'atmosphère pesante, été comme hiver, de Haworth et de sa lande à perte de vue. Je ne saurais que conseiller le détour par Haworth, hors saison de préférence, sous les brouillards et les paysages désolés de novembre ; on comprend alors comment cette atmosphère lugubre où la mort semble toujours présente a pu forger les personnalités de chaque membre de la famille, et combien le recours à la création littéraire ou artistique a pu être nécessaire pour survivre à la vie triste et oppressante qui était la leur. Impressionnant.</p>