Commentaires sur <BR>13 juillet 1937 | <EM>Guernica</EM> au Trocadéro<BR><BR>TypePad2006-07-13T07:13:00ZAngèle Paolihttps://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/tag:typepad.com,2003:https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2006/07/13_juillet_1937/comments/atom.xml/Martine a commenté sur '<BR>13 juillet 1937 | <EM>Guernica</EM> au Trocadéro<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e201676877e46e970b2012-07-13T13:29:12Z2012-07-13T22:57:45ZMartinehttp://www.allerauxessentiels.comIl y a même un travail souterrain dans notre inconscient individuel, en écho à toute oeuvre qui touche certains non-dits...<p><br />Il y a même un travail souterrain dans notre inconscient individuel, en écho à toute oeuvre qui touche certains non-dits en nous...........<br />
Merci, Yves, pour cet éclairage........bises.<br />
<br /><br /></p>Pascale a commenté sur '<BR>13 juillet 1937 | <EM>Guernica</EM> au Trocadéro<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200d834a6d42c53ef2006-08-10T18:38:25Z2007-08-17T06:43:03ZPascale"El artista es, al mismo tiempo, un ser politico que vive pendiente y consciente de otdos los acontecimientos- desoladores, de...<p>"El artista es, al mismo tiempo, un ser politico que vive pendiente y consciente de otdos los acontecimientos- desoladores, de actualidad o placenteros- que occurren en el mundo y reacciona ante ellos... No, la pintura no existe solo para decorar las paredes de las casas. Es un arma que sirve para atacar al enemigo y para defenderse contra él."</p>
<p>Pablo Picasso </p>
<p>" Bien au contraire, il [l'artiste] est en même temps un être politique, constamment en éveil devant les déchirants, ardents ou doux événements du monde, se façonnant de toute pièce à leur image... Non, la peinture n'est pas faite pour décorer les appartements. C'est un instrument de guerre offensive et défensive contre l'ennemi."</p>Yves a commenté sur '<BR>13 juillet 1937 | <EM>Guernica</EM> au Trocadéro<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e200d834d4b02569e22006-07-13T10:05:41Z2007-08-20T03:09:16ZYvesEn lisant le poème d'Eluard, je me disais qu'il était très difficile d'appréhender quels peuvent être les effets d'onde et...<p><br />En lisant le poème d'Eluard, je me disais qu'il était très difficile d'appréhender quels peuvent être les effets d'onde et de résonance d'un poème ou d'une œuvre d'art (outre leur valeur de témoignage, comme celui - stupéfiant - du reportage photographique que fit Dora Maar sur <em>Guernica,</em> et que l'on a pu voir jusqu'au 22 mai 2006 au Musée Picasso). Il y a à mon sens un travail souterrain qui diffuse peu à peu dans l'inconscient collectif. On en a pour preuve que ce poème (publié dans un premier temps en 1937 dans les <em>Cahiers d'art</em> où la toile a d'ailleurs reçu pour la première fois son titre définitif de <em>Guernica.</em> Pour les <em>Cahiers d'art,</em> cf. <em>Terres de femmes,</em> Mirό, <a href="http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2005/05/treintes_.html" rel="nofollow">Etreintes</a>, 21 mai 2005), ce poème donc a servi de thème pour le film <em>Guernica,</em> réalisé en 1950 par Alain Resnais et Robert Hessens. Le texte d'Eluard étant dit par Maria Casarès. Par ailleurs ce poème a aussi été mis pour partie en musique par Georges Auric.</p>