SILVIA BRE Source ■ Silvia Bre sur Terres de femmes ▼ → [Beato il mio vicino](autre poème extrait de Marmo, traduit par Philippe Leuckx) → [Il dono a volte è solo un vetro opaco] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Silvia Guzzi) → [Un’aquila si tiene nei miei occhi] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Tiphaine Samoyault)[+ une notice bio-bibliographique de Silvia Bre] → [Io amo chi siede](poème extrait de La fine di quest’arte, traduit par Silva Guzzi) → [La poca la povera cosa] (autre poème extrait de La fine di quest’arte, également traduit par Silvia Guzzi) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) [È da lontano che viene] (poème inédit traduit par Silvia Guzzi) ■ Voir | écouter aussi ▼ → (sur Doppiozero) plusieurs poèmes dits par Silvia Bre, dont le poème ci-dessus, « Un salmo » (poème n° 3) → (sur letteratura.rai.it) le poème « Senza titolo » dit par Silvia Bre [poetryclip] |
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C'est de ma propre initiative que j'ai rajouté en légende pop up "La poésie de Silvia Bré est moins une poésie du mot qu’une poésie des contraires". Guidu a en effet conçu ce portrait sans connaître cette phrase de Tiphaine Samoyault. Mais la rencontre entre cette phrase et ce portrait était tellement forte qu'il n'était pas possible de ne pas faire cette mise en relief. Bravo, Guidu, pour cette intuition toujours si forte qui te caractérise. C'est vraiment un plaisir de travailler avec toi. Peu de mots, mais beaucoup de présence. Ce serait une métaphore banale que de te dire, à toi le photographe : tu "m'impressionnes"... E pure...
Rédigé par : Webmestre de TdF | 02 mai 2006 à 20:29
Si si, caru Ivucciu, esatto ! « Un coup de dés jamais n'abolira le hasard ».
Grazie molto !
Guidu
Rédigé par : Guidu | 02 mai 2006 à 21:21
poème magnifique! Je vais chercher des enseignements sur Silvia Bré. Merci Angèle.
Rédigé par : allegra | 03 mai 2006 à 12:18
Oui, allegra, Silvia Bre est une très grande dame de la poésie italienne. La plupart des Français l'ont découverte en même temps que la sortie du double numéro spécial de Po&sie 110, consacré à la poésie italienne de ces trente dernières années. Il y en a une autre (très grande) que l'on est en train de découvrir en France. C'est Antonella Anedda (elle était à Dijon au début de l'année). Jean-Baptiste Para (Revue Europe) est en train de préparer une traduction de ses poèmes.
En tout cas, si tu as connaissance d'éditions portugaises de Silvia Bré, tiens-moi au courant. Cela me ferait beaucoup plaisir de le savoir moi aussi...:)
Rédigé par : Angèle | 03 mai 2006 à 16:00