Image, G.AdC Abituata ormai a parlare d’altro non riconosco più le mie passioni, brucio di sete eppure mi domando se veramente ho sete o cos’altro. » Patrizia Cavalli, Sempre aperto teatro, Einaudi, 1999. Désormais habituée à parler d’autre chose je ne reconnais plus mes passions, je brûle de soif et pourtant me demande si j’ai vraiment soif ou si j’ai autre chose. Patrizia Cavalli, Toujours ouvert théâtre, Rivages poche/Petite Bibliothèque, 2002, pp. 162-163. |
PATRIZIA CAVALLI Image, G.AdC ■ Patrizia Cavalli sur Terres de femmes ▼ → Mes poèmes ne changeront pas le monde (lecture d’AP) → Non dipende da me → Perdre du temps, voilà mon métier → Poco di me ricordo → Tu sei davvero il mare → [Io guardo il cielo] (poème extrait de Vita meravigliosa) → Portrait de Patrizia Cavalli dans la Galerie Visages de femmes |
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Bravo pour Terres de Femmes globalement qui est ces temps-ci dans une forme éblouissante. Bravo à Guidu dont les photographies, spécialement ces temps-ci, accrochent des thèmes subtils et variés. Bravo supplémentaire pour le nouveau répertoire alphabétique, un outil de grande classe.
Jean-Marie.
Rédigé par : Jean-Marie | 12 mars 2006 à 21:34