30 mars 1917, publication aux éditions de la NRF de La Jeune Parque de Paul Valéry.
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Toujours ces souvenirs qui arrivent par vagues dès que je feuillette ton éphéméride…
La jeune Parque… Elle m'a donné tant de soucis, elle ne voulait pas se dévoiler, elle refusait ma voix, que je lui prêtais pourtant avec tant d'ardeur !
… Mais qui pleure,
si proche de moi-même au moment de pleurer ?…
Sois remerciée pour tout ce que tu nous offres, chère Angèle !
Rédigé par : nobody | 31 mars 2006 à 13:11
Valéry... que de résonances inspire en moi ce Paul Valéry, dernier de nos classiques, qui me surprit un soir de mes 17 ou 18 ans, avec sa "mer, toujours recommencée". C'est un poète dont je connais trop mal l'oeuvre, pure et exigeante me semble-t-il, mais les quelques mots nés de sa plume que j'ai pu lire restent en mon âme comme des frères...
Merci beaucoup...
Rédigé par : Alfred Teckel | 31 mars 2006 à 16:51
Savez-vous, cher Alfred Teckel, que dans l'imaginaire de ma génération "La mer, toujours recommencée" évoque aussi le final de Pierrot le Fou de Godard ?
Rédigé par : Angèle | 06 avril 2006 à 08:06