Pétales de neige tombent de l'arbousier sous peu la gelée haïku inédit de Jean-François Agostini |
■ Voir aussi ▼ → Histoire du haïku par Ryu Yotsuya (Tokyo) ■ Jean-François Agostini sur Terres de femmes ▼ → [Décembre] → Face au mur → Nager… (+ notice bio-bibliographique) → [Un bruit de chaîne court sur la mer] |
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Pour mémoire (agenda culturel)
Dans le cadre des Mardis d'Una Volta (Bastia), le 14 mars prochain, à 18h30, à l’occasion du Printemps des Poètes, Alain Kervern, spécialiste du haïku, et Patrizia Gattaceca proposeront au café Una Volta un instant poétique autour de ce mode particulier d'expression qu'est le haïku :
« Composer des haïkus, c'est déchirer la surface du quotidien d'un coup de fouet, en faisant claquer la cravache des mots. Il s'agit en définitive de s'engager dans une quête difficile, car il ne s'agit pas d'écrire de jolies choses, mais d'écrire juste. »
Alain Kervern
Rédigé par : Webmestre de TdF | 06 février 2006 à 23:36
Merci Angèle pour la belle illustration de mon haïku.
Juste une petite remarque à propos de la définition de Mr Kervern : est-il bien nécessaire d'employer des termes aussi cinglants et métaphoriques (fouet, cravache) pour qualifier cet art japonais qui me semble à la lecture de Buson, Bashô ou Teitoku plus subtil que flagellant et plus réaliste qu'abstrait? Mais je ne suis pas un spécialiste aussi quelques explications s'avèrent à mon sens nécessaire.
Rédigé par : Jean-François | 07 février 2006 à 20:06
Voici la référence de cette citation.
Très cordialement.
Rédigé par : Webmestre de TdF | 08 février 2006 à 10:24