tendues sur ton visage
passerelles d’ombre
extase
arcades de lumière
velouté de la peau
à l’épreuve de ta rondeur
(suite)
D.R. Image et texte : G.AdC/angèlepaoli
Edition et mise en pages : Yves Thomas
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Ces mains, portées au visage, paupières closes, effacent-elles un songe, des larmes, ou au contraire accompagnent-elles un bien-être voluptueux ?
tout à la fois ?
merci pour ces évasions multiples toujours inspirées...
maryann.
Rédigé par : maryann | 24 octobre 2005 à 22:22
"Tout ce qui arrive : SOIF" a écrit le poète Israël Eliraz en pensant à Thérèse d'Avila.
Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire personnellement à Angèle et à Guidu, cette photo est pour moi très évocatrice de Paulina 1880, mais aussi des extases baroques. Je pense évidemment en priorité à L'Extase de sainte Thérèse du Bernin que l'on peut voir à Santa Maria della Vittoria à Rome. Il ne manque apparemment que le chérubin... Mais je soupçonne qu'il n'est pas loin.
Rédigé par : Yves | 24 octobre 2005 à 23:39