YVES BONNEFOY Image, G.AdC ■ Yves Bonnefoy sur Terres de femmes ▼ → 25 juin 1981 | Élection d’Yves Bonnefoy au Collège de France → À la voix de Kathleen Ferrier → Donner des noms → Le myrte → Les Raisins de Zeuxis → Une silencieuse ordalie (L'Arrière-pays) → Vrai nom → Les Planches courbes : feuilleton pédagogique en 26 épisodes à l'usage des lycéens ■ Voir/écouter aussi ▼ → (sur le site Université de tous les savoirs) écouter/voir la vidéo d'une conférence d'Yves Bonnefoy (La parole poétique) du 17 novembre 2000 → (sur le site du Collège de France) une bio-bibliographie d'Yves Bonnefoy |
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Juste un question ... avez vous trouvé d'abord l'image ou la poésie ?
Qui illustre qui ?
Ceci dit ... une très belle association !
Rédigé par : Guess Who | 28 juillet 2005 à 10:32
Lorsque j'ai choisi ce poème, je connaissais déjà la toile (pour l'avoir vue plusieurs fois à l'Accademia). Ce poème de Bonnefoy me parlait de ce fait "singulièrement". Mais ce n'est pas la toile du Tintoret qui a influencé mon choix. C'est beaucoup plus le thème de la Pietà. Un thème très méditerranéen, récurrent chez Bonnefoy, mais aussi chez de nombreux poètes contemporains. Comme Ungaretti. Ce thème rejoint celui de la déploration, une des topiques fortes de la poésie baroque. Que l'on retrouve en Corse sous la forme (plus populaire) du lamentu.
Rédigé par : Angèle | 28 juillet 2005 à 10:50
Pour vous deux, Angèle et Yves, à GIUSEPPE UNGARETTI j’ai emprunté un - couchant - pour un - début de soirée - … bientôt, en nos Terres Insulaires … !
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TRAMONTO ____
Il carnato del cielo
sveglia oasi
al nomade d'amore
INIZIO DI SERA___
La vita si vuota
in diafana ascesa
di nuvole colme
trapunte di sole
__________________________
Amicizia
Guidu _______
Rédigé par : Guidu | 28 juillet 2005 à 19:35
Eh bien, merci pour Bonnefoy e Ungaretti
Bambina
Il tuo volto ha smarrito
il ridere negli occhi
per una vaga libertà che corre
dal tuo corpo leggera.
E scarna, trafelata
nel respiro ti tocchi
come delusa d’innocenza, vera.
E’ breve il sogno che t’arride, un fiato
in cui trasali in giro
trepida d’un dolore appena nato
come seno al respiro.
Alfonso Gatto
Rédigé par : Alfredo | 01 août 2005 à 19:29