Hans Hartung, L 34, 1957. Lithographie, 65 cm x 50,5 cm. Source
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JEAN TARDIEU Source ■ Jean Tardieu sur Terres de femmes ▼ → 1er novembre 1903 | Naissance de Jean Tardieu → Complainte du verbe être (poème extrait d’Un monde ignoré) → Le voyage |
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feindre de fuir
c’est changer la musique
en un regard silencieux
quel beau poème...
je regrette que le dessin de Hartung ne l'accompagne pas...
ce matin je n'ai pas de chance , je n'arrive pas à écouter Astor Piazzolla
le poste-it me parle...
bonne journée Angèle
Tendresses
Rédigé par : ludecrit | 15 juin 2005 à 10:30
Chère Elisanne, ici le Piazzola marche bien sur 2 ordis différents. Il est en RealPlayer. Dans le même registre (mais plus dans le passé), essayez pour voir le Buongiorno Tristezza que je viens de mettre en ligne (également en RealPlayer). Sinon, essayez sur le site de la Rai dont j'ai donné le lien.
Rédigé par : Webmestre | 15 juin 2005 à 10:48
Merci pour Hartung et ses lignes de fuite...
Pour Piazzolla je n'y arrive pas , par contre sur le site de la Rai, pas de problèmes...
Sagan et son "Bonjour tristesse" que de souvenirs
merci...
mais les bonjours tristesse sont toujours d'actualité!
bonne journée...
Rédigé par : ludecrit | 15 juin 2005 à 11:35
Merci Angèle pour cet échos entre Poésie et Peinture !
Peu de gens je crois savent que HANS HARTUNG était aussi photographe. Dès sa plus tendre enfance vers huit ans si mes souvenirs sont exacts il se confectionne un appareil photographique avec les boîtes à cigares de son père et une lentille. Sur cette passion pour la photographie il dit : " … Je dois dire que dans ma jeunesse, mon intérêt pour l’astronomie et pour la photographie a précédé celui pour la peinture… J’ai la manie de tout photographier parce que la photographie est ma seconde mémoire… ". Le regard photographique alors que d’aucuns croient qu’il est là pour rapporter la réalité lui a servi tout au long de son œuvre à figurer l’abstrait. Faux paradoxe en fait .
Hartung me fais penser à LUCIO FONTANA qui utilisait une technique encore plus radicale pour parvenir à ses abstractions : la lacération . Ce n’était même plus un regard mais un geste ! Fort non ?
Amicizia
Guidu _______
Rédigé par : Guidu | 17 juin 2005 à 00:05
Merci à Jean Pandolfi-Crozier (France 3 Corse) d'avoir fait parvenir à TdF ce lien sur la transcription d'un entretien perdu (1985) avec Hans Hartung.
Rédigé par : Webmestre de Tdf | 30 mai 2006 à 18:06
la musique qui accompagne la poésie de jean tardieu est sublime...merci et suis ravi de cette rencontre!!
Rédigé par : béchir | 23 juin 2013 à 14:23