En l’honneur de Jules Supervielle (né le 16 janvier 1884 à Montevideo [Uruguay] et mort à Paris le 17 mai 1960), cette petite improvisation prémonitoire de 4’33 de John Cage. Celle-ci n’est pas pour tous instruments, mais pour piano noir solo.
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JULES SUPERVIELLE Portrait de Jules Supervielle à vingt-six ans (1910), d’après une eau-forte de Fernand Sabatté (1874-1940). Source ■ Jules Supervielle sur Terres de femmes ▼ → 26 mai 1955 | Jules Supervielle, Grand Prix de littérature → 17 mai 1960 | Mort de Jules Supervielle ■ Voir aussi ▼ → (sur The Dissident) « Jules Supervielle, poète de la magie réparatrice », par Adeline Baldacchino (21 décembre 2017) |
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Dans le cadre d'un colloque professionnel sur le thème "Le temps s'écoule, le temps s'écoute" j'avais réécrit certains passages de ce conte pour évoquer la carrière en psychiatrie d'un ami infirmier-écrivain André Roumieux. Le texte accompagné de dessins s'intitulait "Le jeune homme et la haute mer"...
Rédigé par : M.P. | 16 janvier 2005 à 12:25
Et pour ce 16 janvier, je propose aussi de penser à Susan Sontag qui vient de mourir et qui nous manque déjà (j'aurais aimé qu'elle intervienne pour commenter le déferlement des images des tsunamis, et le recours aux images d'amateur notamment, comme elle avait su, très vite, le faire à propos des images du 11 septembre : elle était née le 16 janvier 1933.
Rédigé par : Florence Trocmé | 17 janvier 2005 à 18:08
A l'occasion de l'anniversaire de sa naissance, pour les îliens d'ici et d'ailleurs, ce poème de Jules Supervielle.
Amitiés
La mer secrète
Quand nul ne la regarde
La mer n’est plus la mer,
Elle est ce que nous sommes
Lorsque nul ne nous voit.
Elle a d’autres poissons,
D’autres vagues aussi.
C’est la mer pour la mer
Et pour ceux qui en rêvent
Comme je fais ici.
Si nul ne pense à moi
Je cesse d'exister.
Rédigé par : Pascale | 16 janvier 2007 à 12:15