Terres de Femmes

Angèle

« MAMINA »     Elle partageait avec elle, dans son grand lit, de longues et interminables siestes. « Mamina » passait des heures entières à lui brosser langoureusement les cheveux, de longs cheveux. Tout en lui fredonnant de douces et lancinantes mélopées. Elle plongeait alors dans un abandon sensuel et bienheureux. Elle était aux anges. Elle, la petite Angèle, qui portait aussi le nom de cette grand-mère-là, sa « mamina » tant aimée. Et puis soudain, elle s’envolait. S'échappait des bras enjôleurs de son aïeule (Quel âge pouvait-elle bien avoir ? Etait-elle vraiment aussi âgée qu’elle l'imaginait ? Peut-être avait-elle à peine l’âge qui est le sien aujourd’hui ?). D.R. Ph. angelepaoli     À son réveil, elle filait s’engouffrer dans son armoire à glace où elle retrouvait l’odeur de son corps. Une odeur de violettes. Elle en ressortait, noyée dans ses robes, dont elle raffolait. Des cotonnades fluides et soyeuses, ajourées de dentelles. Elle se parait de ses chapeaux, qu’elle extirpait précautionneusement et délicatement de leur immense boîte noire. Mystérieuse. Elle se couvrait tout entière de ses bijoux. De ses colliers de perles translucides, irisées de lumière. Elle chaussait ses escarpins à talons. Elle se lovait dans ses parfums. Elle passait les heures chaudes de l’après-midi à parader devant la glace sous ses yeux myopes de spectatrice attendrie, émerveillée de ses jeux. Innocents ?     Angèle, sa grand-mère, était sous son charme. Et elle le savait.     Plus tard, dans l’après-midi, ils sortaient tous ensemble. « Babbò » leur faisait prendre le car, place Saint-Nicolas. Et ils partaient à l’aventure. Une bien modeste aventure ! Ils descendaient quelques kilomètres plus loin à peine, au-delà de Toga, poussant parfois jusqu’à Erbalunga.     « Babbò » les installait à l’ombre de chênes-lièges, « mamina » et elle. Il confectionnait pour elles des sièges de fortune avec les pierres plates abandonnées là. Fidèles habitués de ce coin de verdure et de fraîcheur, ils posaient leurs marques comme des stèles, inviolées d’une fois sur l’autre. « Babbò » sortait de son cabas toutes sortes de trésors. De la ficelle, des planchettes de bois, quelques clous, des bouchons et surtout son vieux canif. Pour sculpter le liège. Avec patience et précision. Elle voyait surgir des roues. Quatre roues identiques. Elle voyait surgir peu à peu, sous le travail de ses doigts habiles, les premiers éléments du berceau qu’il fabriquait pour sa poupée de chiffon. En fin d’après-midi, elle repartait avec le dernier jouet créé pour elle seule.     « Mamina », elle, sortait de son cabas à carreaux des « canistrelli » au vin, qui craquaient bon sous la dent. La panetta dans laquelle la petite glissait une barre de chocolat noir. En se léchant les doigts avec délice. Au retour, ils s’arrêtaient à Brando, pour prendre les blocs de glace. « Babbò » les mettait à l’abri dans une grande cuve de la cuisine. Qui faisait fonction de réfrigérateur.     A peine de retour à la maison, elle se précipitait, nu-pieds sur le balcon, pour inaugurer le berceau confectionné pour elle sous la chênaie. A sa demande, « Babbò » venait le parachever par une capote rustique montée sur des cerceaux. Entretemps, « mamina » avait cousu toute une literie miniature, à volants et à dentelles, pour le bien-être de sa poupée de chiffon. Et son bonheur, à elle. Elle jouait là, à la fraîche, pendant des heures, absorbée par ses « taraillettes » et ses jouets en bois. Parfois, elle interrompait ses activités de petite bonne femme pour lancer vers le soleil couchant des bulles de savon irisées de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Elles s’élevaient légères dans l’air du soir, puis éclataient soudain sans bruit, sans laisser de trace. Le balcon de l’appartement de ses grands-parents paternels à Bastia, c’était là, le paradis de sa petite enfance. De là, elle avait vue sur le monde, sur le monde à l’entour, le manège des ménagères qui faisaient glisser leur lessive sur des cordages qui s'enroulaient et se tendaient autour de poulies grinçantes. Elle aimait ce va-et-vient dont elle épiait le ballet deux fois par jour. Linge mouillé, linge sec, qui habillait l’air chaud du matin et du soir.« Mamina » participait aussi de cette fête de la lessive dans laquelle, le soir venu, il fallait reconnaître son linge parmi celui des autres familles. C’était le moment d’un échange entre femmes, d’un bout à l’autre de l’immeuble. D’invectives et de rires partagés. De nouvelles qui circulaient en même temps qu'une suspension flottante de pyjamas et de linge de corps. Ou, selon les jours, de draps et de nappes rustiques, battant pavillon devant la mer. Du balcon, elle observait la chute éclatée des détritus, lancés à toute volée par-dessus les rebords de fenêtres. Quand ce n’était pas les vases de nuit dont les contenus valsaient effilochés par-dessus sa tête. Elle observait aussi le mouvement descendant ascendant des paniers qui partaient vides et se balançaient, légers, le long des parois d'immeuble, et remontaient, ralentis dans leur course par leur plein de journaux, de miches de pain, de bouteilles de lait, de figues ou de grappes de raisins. Il fallait tendre le bras au passage pour se saisir de cette provende aéroportée. Elle aimait ces gestes de la vie ménagère, ces moments de rien, faits de détails si minuscules, aujourd’hui disparus. Angèle Paoli D.R. Texte angelepaoli

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Gérard de Nerval | Myrtho

«  Poésie d'un jour  »

Image, G.AdC MYRTHO Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, A ton front inondé des clartés d’Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l’or de ta tresse. C'est dans ta coupe aussi que j’avais bu l’ivresse, Et dans l’éclair furtif de ton œil souriant, Quand aux pieds d’Iacchus on me voyait priant, Car la Muse m’a fait l'un des fils de la Grèce. Je sais pourquoi là-bas le volcan s'est rouvert... C'est qu’hier tu l’avais touché d’un pied agile, Et de cendres soudain l’horizon s’est couvert. Depuis qu’un duc normand brisa tes dieux d’argile, Toujours, sous les rameaux du laurier de Virgile, Le pâle hortensia s’unit au myrte vert ! Gérard de Nerval, Les Chimères, Poésies, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, page 3.

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■ Gérard de Nerval sur Terres de femmes ▼ → 22 mai 1808 | Naissance de Gérard de Nerval → 26 janvier 1855 | Mort de Gérard de Nerval → Delfica

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André Ar Vot/« Al di là delle nuvole »

André Ar Vot, Cent vues de l'enclos des nuages,
José Corti, 2004.

D.R. Ph. angèlepaoli

AL DI LÀ DELLE NUVOLE


    Cent vues de l'enclos des nuages d'André Ar Vot est un millefeuille, à lire et à goûter, feuille après feuille, touche par touche, du bout des doigts. Un feuilleté sur les nuages. Un nuancier qui entraîne le lecteur gourmet à travers les airs, strates et aires, stratosphères. À la rencontre des nuages, de leurs histoires et de celles qu’ils nous racontent. De leurs mystères. Aussi fugitifs et secrets que les formes impalpables qu’ils inventent pour que le poète invente à son tour toute une jonglerie de mots insolites et une rêverie des ciels pour tenter de percer leur magie volatile (et vibratile ?). Qui toujours recule et toujours échappe. Comme l’art. C’est d’ailleurs une réflexion de Picasso que le poète a choisi de mettre en exergue à son « avertissement » : « On ne fait pas de tableau, on fait des études, on n’en finit pas de s’approcher » (Propos sur l’art). Il en est de même des nuages, même si le poète, passé Maître en l’a-matière, s’ingénie à inventer, par antiphrase, un « Manuel des Nuages en 25 leçons ». D’ailleurs les « 25 leçons » sont dépassées, et pareillement les « Cent Vues » que lui inspirent les Cent Vues du Mont Fuji d’Hokusai.

    Les variations sont à l’image des nuages : infinies ! Elles nous emportent du nuage « baleine blanche-Moby Dick » à la « Grotte flottante » de l’homo erectus de Tautavel, non sans happer au passage, de manière instinctive, les noms irrésistiblement proustiens de « Palamède et Verdurin ». Ailleurs, on glisse avec lui sur cette évidence : « Les nuages et les hirondelles sont des organes agiles, les particules d’un grand corps morcelé, un puzzle qui se reconstitue pour les vastes traversées. Toujours en mouvement, ni les uns ni les autres ne mettent pied à terre. » Et l’on croise en chemin une réflexion sur les « avatars » des nuages qui se changent en pluie ou en « ombres errantes » pour « communiquer avec nos propres sens ». Il y a toute une texture du nuage, une généalogie, une « galaxie médusée ». Certains figurent au « Salon des Refusés », d’autres s’installent dans la «  Nature morte », façon Whistler. On côtoie les nostalgiques et les mondains, les insouciants et les belliqueux, les indolents, les tapageurs. Et même «  les simples d’esprit », qui ont la préférence du poète. Car, dit celui-ci, « le royaume des cieux leur appartient. » Al di là delle nuvole. Par-delà les nuages…


Angèle Paoli
D.R. Texte angèlepaoli

EXTRAITS


    « Le ciel est un palimpseste dont les nuages sont les écritures successives. Un vent les efface et remplace ce qu’un autre vent, d’un autre geste, avait transcrit.
    Même chose que les pas de l’homme sur le sable, ce langage mélodique de notes suspendues, sinueux, composé de creux et de pleins, de talons évidés et d’orteils déliés, voués au silence et à l’effacement par le retour de la marée… Courtoisie du vent : il fait une pause et cesse de souffler le temps de la lecture et du déchiffrage. Puis il recommence à brouiller les superpositions, à entremêler les pistes. Il tricote de la profondeur. »
(p. 170)


    « L’interface de l’étang, entre l’air et l’eau supporte une réduction historiée du ciel et de ses populations errantes. Elle flotte, cette image, portée par l’eau, comme la peau du lait à la surface de la casserole. L’air agite une hachure de rides, minuscules, entrecroisées. Ce serait enfin l’occasion inespérée d’utiliser l’adjectif « guilloché » pour la gaucherie duquel j’éprouve un certain penchant rarement partagé. Mais je résiste. Ce serait séduire à trop bon compte. Pendant ce temps la brise brouille les contours, embrume le reflet. L’occasion est passée. »

« Langagières nuées » (p. 161)

NOTICE BIO-BIBLIOGRAPHIQUE

    Ancien professeur à l’université de Paris-VIII, spécialiste de Faulkner et de Scott Fitzgerald, dont il a publié une biographie aux éditions Julliard, André Le Vot, dit André Ar Vot, est un grand arpenteur du ciel. Son ouvrage, Cent vues de l’Enclos des nuages, publié chez José Corti, est un recueil de fragments dont le titre renvoie aux estampes d’Hokusai : les « Cent vues » sont inspirées par le mont Fuji. Grand amateur de peinture, André Ar Vot tire son inspiration à la fois de son imaginaire et des ses vagabondages poétiques. Certains fragments du recueil sont parus dans la revue Po&sie. Un nouvel ouvrage d'André Ar Vot, La Dérobée, a été publié en février 2005 par les éditions José Corti. André Le Vot est aussi l’auteur d’un essai sur Courbet : Au-delà de la Pastorale ou la tentation de saint Gustave, publié en 1999 chez l’Harmattan.

    A titre d'illustration musicale, et en hommage à Pier Paolo Pasolini, la musique originale de Che cosa sono le nuvole ?, troisième épisode du film Capriccio all'italiana (1967). Interprétée par Domenico Modugno.
Source : YouTube.

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L’asphodèle, plante du salut

Topique : L’asphodèle

Asphodèles du Cap Corse (Canari-Vignale). D.R. Ph. angèlepaoli L’ASPHODÈLE, PLANTE DU SALUT « L’asphodèle est de tous "les bons passages". Entre ciel et terre, terre et tombe, saison et saison. Veille et sommeil aussi, et ses feuilles douces, soyeuses, gonflent les paillasses des transhumants ou bien des vieux qui vont nous quitter et des enfants qui nous arrivent. [...] les feuilles d’asphodèles comme celles du hêtre sont imputrescibles et ne gardent pas l'odeur de l’urine. Entre l’obscurité et la lumière, « luminellu »; entre le froid et le chaud, « incendime »; entre l’incult de la forêt ou du maquis et la culture des champs et des jardins, plante de la friche, « san-martinu »... Est-ce une fleur ? Une plante ? Un arbre ? Il semble relever d’une catégorie impossible [...] nous ignorons tout de la taxinomie populaire corse. On peut cependant penser, à partir de certains indices, qu’il y a un statut intermédiaire n’entrant pas tout à fait dans les catégories de la botanique scientifique. Ceccaldi dans son dictionnaire nous dit qu'« arbucciu » signifie "arburucciu" (petit arbre), ce qui est faux linguistiquement [...]. L'auteur introduit ici un sens tiré sans aucun doute du savoir local et il nous propose une étymologie fantaisiste comme on dit d'une étymologie populaire. Cette "classification" est confirmée par un récit recueilli aujourd'hui même à Ucciani. Il nous raconte l'une des nombreuses aventures de Bartolu, un personnage qui, à la manière de Grossu-Minutu, a l'art de se tirer toujours des mauvais pas. Condamné à mort par la reine, il va être pendu. Il accepte le verdict mais demande "una grazia" (une dernière faveur). Il souhaite choisir l'arbre auquel il sera pendu, ce qu'on lui accorde. Les bourreaux le conduisent à travers les forêts. Aucun arbre n'est à son goût. Ils parviennent dans un champ couvert d'asphodèles, et désignant un beau "tirlu" : " - voilà mon arbre !". [...] Lié à cette plante moins haute que lui, Bartolu a échappé à la mort. Il a retourné la situation, aboli l'ordre sans passer par la rébellion, acceptant sans la subir, la loi de la reine. Au moment de mourir, il s'est amarré à l'asphodèle qui l'a réancré dans la vie. Plante du salut, une fois encore. » Arburi, Arbe, Arbigliule, Savoirs populaires sur les plantes de Corse, Livre édité avec de nombreux collaborateurs pour le compte du Parc Naturel Régional de la Corse, BP 417, 20184 Ajaccio Cedex, 2003 (Quatrième édition), selon une maquette et une mise en page de Jean Garcia. Extrait d'un article de Lucie Desideri, L’Asphodèle, page 294. ____________________________________ COMMENTAIRES et CITATIONS : Voir aussi l'article "Asphodèle" du site nature.jardin.free.fr dans lequel je note tout particulièrement les remarques suivantes concernant la Corse : « Fleur sacrée dans la mythologie grecque et romaine, emblème de la résurrection, relatée par Homère (l'Odyssée) qui l'associait aux Champs Elyséens où séjournaient les âmes des morts, qui se nourrissaient de leurs racines. Association reprise dans les œuvres poétiques de Victor Hugo ('parfum d’asphodèle' de Booz endormi) et André Chénier ( «L’Aveugle »). L'asphodèle revêt encore de nos jours une importance symbolique en Corse, Grèce et Italie. En Corse (Asphodelus microcarpus Viviani.), durant les fêtes de la Toussaint, les épis floraux étaient trempés dans de l'huile d'olive, puis allumés et déposés près des tombes. Ce genre comprend une quinzaine d'espèces d'annuelles et de vivaces, originaires des régions méditerranéennes et d'Asie Mineure. En Europe le genre fait partie des plantes protégées. Il a les propriétés de résister au feu. » Je cite les vers de Hugo et de Chénier : • « Booz ne savait point qu’une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d’elle. Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. » Victor Hugo, La Légende des siècles, « Booz endormi ». N.B. Le TLF (Trésor de la langue française) note l’emploi chez Hugo du mot asphodèle au singulier (« comme s’il s’agissait d’une matière »), mais je remarque que Chénier écrit aussi asphodèle au singulier. • « Puis il ouvrait du Styx la rive criminelle, Et puis les demi-dieux et les champs d’asphodèle, Et la foule des morts […] » André Chénier,  «L’Aveugle », vers 189, 190, 191. • Autre citation fournie par le TLF : « Parmi les plantes, la mauve rampante avec ses fleurs rayées de pourpre, et l'asphodèle avec sa longue tige garnie de belles fleurs blanches ou jaunes, se plaisent à croître sur les tertres funèbres. La blanche ne vient guère que dans les parties méridionales de la France et de l'Europe, où de tout temps elle s'harmonise, ainsi que la jaune, avec la mauve. » Bernardin de Saint-Pierre, Harmonies de la nature, 1814, p. 101. • Voir aussi le poème « Pholoé » de Leconte de Lisle, tiré des Poèmes antiques, où le mot asphodèle est employé au féminin : « Oublie, ô Pholoé, la lyre et les festins, les dieux heureux, les nuits si brèves, les bons vins et les jeunes désirs volant aux lèvres roses. L' âge vient : il t'effleure en son vol diligent, et mêle en tes cheveux semés de fils d'argent la pâle asphodèle à tes roses. » Ci-dessous le COMMENTAIRE de ymmage en date du 19 décembre 2004 : « Hastula Regia, le bâton royal ! Ainsi est encore nommée l'asphodèle. Aucune plante, que je sache, n'est pourvue de tant de noms divers. On l'appelle aussi "bâton de Yâqûb", et le chasseur Orion le porte lorsqu'il chasse. Ainsi désigne-ton son baudrier céleste qu'en la contrée où je me trouve on nomme : I tre Urdinati. [...] Ce pays-ci est plein de récits et légendes que je m'efforce de comprendre et dont je m'assure que la cohérence, qui n'est pas immédiatement perceptible, recouvre un monde de savoirs que symbolise l'asphodèle. » Jacques Lovighi, Le Sultan des asphodèles, Editions Autres Temps, 1995, pages 25-26.

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Emma

EMMA

    Des cinq enfants de Philippine et de François, c’est à la troisième fille qu’est revenue l’autorité. Elle était belle et racée. Intelligente aussi. Mais autoritaire. C’était en quelque sorte l’intellectuelle de la famille. Elle avait fait des études. Elle avait passé son brevet supérieur. Elle était institutrice. La meilleure institutrice du Cap. Celle dont, aujourd’hui encore, l’on parle encore dans les familles du Cap. Parfois avec crainte, toujours avec respect. À voix basse cependant.

     Enfant, elle aimait cette tante. Elle la préférait aux autres. Même si elle la craignait bien un peu, surtout dans les dernières années de sa vie.

     Emma se rapetissait d’année en année, courbée en deux, cassée, recroquevillée sur elle-même. Elle était maigre et voûtée. Bossue. Tozza. Elle lui faisait penser aux sorcières du Père Castor. Elle se souvient bien d’elle. Elle retrouve dans son visage d’aujourd’hui, son visage de femme à elle, les traits de cette grand-tante. Elle lui ressemble. Plus les années passent, plus elle lui ressemble. Elle ne sait si elle doit vraiment s’en réjouir ou pleurer.

     Enfant, elle aimait cette tante. Elle la vénérait. Elle avait pour elle une admiration mêlée de crainte. Cet amour-là, elle le partageait aussi avec son frère cadet. C’est du moins ce qu’elle croit.

    Pourtant, quelque chose s’est insinué en elle. Comme le voile léger d’un doute. Un doute qui ne s’est pas dissipé avec le temps, mais au contraire précisé et configuré au fur et à mesure qu’elle s’est penchée sur la vie de Jeanne, la quatrième fille, sa grand-mère à elle. Ce doute, c’est son propre père qui l’avait infusé en elle, par les remarques diffuses qu’il s’autorisait. Il devait en savoir long sur l’histoire de la belle-famille. Sa mère coupait toujours court à ses propos, qu’elle jugeait déplacés. Les enfants saisissaient au vol les petites perfidies paternelles. Mais ils étaient trop jeunes pour leur prêter sens. D’ailleurs, dans ces moments-là, sa mère se mettait à parler corse, pour être sûre de ne pas être comprise de ses enfants.

     Maintenant, elle pourrait bien sûr comprendre. Mais il est trop tard. Son père est mort depuis trop longtemps. Il a emporté dans la tombe les secrets de la maison. Des secrets pesants que, seule, elle essaie de percer. Jeanne. La spoliée. Celle qui n’a rien eu en héritage. Elle ne possède d’elle que quelques rares photos. Et une lettre. Une lettre qui parle d’Emma. Longuement. Une lettre indiscrète que peu connaissent. Hors une cousine nonagénaire, qui la lui a transmise. Comment s’est-elle trouvée en sa possession ? Elle n’a jamais voulu le lui dire. C’est un secret. Un de plus, que la « sororie » a emporté dans la tombe.

Angèle Paoli
D.R. Texte angèlepaoli

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Voir aussi : - (sur Terres de femmes) Elle se regarde dans la glace.

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Philippine

PHILIPPINE     Ces derniers temps, c’est à Jeanne qu’elle pense le plus souvent. Elle panse ses plaies en pensant à Jeanne. Dont la venue à la vie a déchaîné la fureur du père, François. Qui n’a eu que mépris pour cette épouse qui lui refusait l’enfant mâle qu’il attendait.     Un jour, n’y tenant plus, ne pouvant supporter davantage les vexations, Philippine est partie. Sur la route caillouteuse qui la ramenait vers le village d’avant le mariage. Elle n’y était pas retournée depuis qu’Antoine était venue l’y chercher. Elle avait pris sa dernière-née dans les bras, bien décidée à trouver asile chez son frère, le Commandant S. Enveloppée dans ses châles noirs, elle avait marché. Longtemps. De retour des champs, Antoine avait trouvé la maison vide. Le ragoût était prêt dans la péntola, mais il n’y avait personne dans la cuisine pour le lui servir. Il avait sellé son âne et était parti sur la route pour la rejoindre. Elle marchait d’un pas gaillard. Elle avait déjà parcouru une grande partie du chemin qui la séparait de son village natal. Il l’avait rejointe. Silencieusement, il l’avait prise par la main et l’avait ramenée, elle et l’enfant, au logis. Silencieusement, elle avait repris sa vie de femme soumise, contrainte d’élever sans broncher ses quatre filles. Et de supporter, sans mot dire, les réprimandes et les reproches de son époux. Jusqu’au jour où elle a mis au monde un fils. Ce jour-là, les cloches de l’église ont sonné à pleine volée. L’enfant mâle, tant désiré, venait de faire son entrée. Augustinellu. Il rendit à la vie sa mère, pétrie d’angoisse à l’idée de mettre au monde une cinquième fille. Il lui rendit aussi son honneur. L’enfant grandit, choyé par ses sœurs. Jeanne le chérissait, elle aurait pu aussi bien le haïr. Angèle Paoli D.R. Texte angelepaoli

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Novembre dans le Cap Corse

NOVEMBRE DANS LE CAP CORSE     L’hiver l’a prise au débotté alors même que, à peine quelques jours avant, elle savourait des journées quasi estivales. Finies donc les longues baignades revigorantes dans les criques abandonnées à leur solitude originelle. Les premières neiges ont recouvert les cimes du Cintu et les pluies torrentielles de ces derniers jours ont fait jaillir d’insolites cascades. Le maquis ébroue toutes ses nuances de vert tendre ; les bogues des châtaignes roulent sur les sentes et c’est un bonheur de chaque instant que de redécouvrir la beauté d’une grappe d’arbouses jaunes, orangées ou écarlates, déjà. Ou celle, fragile, de minuscules cyclamens sauvages blottis au creux d’une roche. D.R. Ph. angelepaoli     Que dire de l’odeur mouillée des champignons tapis sous les feuilles ? Tout ici est rendu à sa dimension vraie ; à sa véritable épaisseur. Et le temps est suspendu dans un hors-temps qui ne peut se comprendre que de l’intérieur. Cette saison - ou plutôt cette hors-saison - est idéale pour renouer avec ce temps de l’enfance qui s’étirait paresseusement sur de longs mois, temps immuable, « toujours renouvelé ». Je retrouve en ces lieux cet espace-temps dont j'ai un besoin viscéral.     La météo incertaine m’a poussée sur les lacets abrupts du haut du Cap, les corniches en à-pic au-dessus de la mer déchaînée. Avec, de loin en loin, un hameau recroquevillé à flanc de montagne, âpre et sauvage dans son silence, sa désolation et sa solitude. De l’autre côté, côté Levant, les îles : l’île d’Elbe, majestueuse et bien ancrée, Capraia, la terrible « île aux chèvres » d’Ugo Betti. Et la perfide Gorgona. Elles sont là, à portée de main, précises dans leur découpe ou leur silhouette en clair-obscur. Elles rappellent que l’Italie déroule sa botte juste en face, à quelques encablures. D.R. Ph. angelepaoli     Elle a fait halte dans une modeste auberge, rustique à souhait. Elle s’y est régalée d’un repas traditionnel, a cucina nustrale. Assiette de charcuterie : prisuttu, coppa, lonzu, salsiccia ; frittelle au brocciu, stufatu de veau corse, raviolis, fiadone… Un repas qu’elle a laissé se prolonger au rythme lent de la conversation, dans la pénombre naissante d'une fin d’après-midi. La présence d'une jeune et pimpante nonagénaire, une cousine germaine de sa mère, débusquée dans son borgu de Licettu, a grandement contribué à la tenir éblouie autour de la table. Ensemble, ils ont ressuscité les figures du passé et ramené à la lumière des épisodes enfouis de la saga familiale. Qui s’étend jusqu’aux confins des Amériques. Toute une mémoire qu’elle cherche à préserver. Avec une volonté presque désespérée.     Au retour, côté couchant, le ciel était d'encre avec au large une frange de lumière qui balayait l’horizon et incendiait mer et montagnes par-delà Ile-Rousse et Calvi. Elle a fait halte dans le hameau de sa grand-mère Jeanne. Puis, emprunté un sentier frangé d’oliviers pour grimper jusqu’au tombeau de ses aïeules. Cerné de câpriers, de cyprès, de citronniers et de figuiers. Tous ses ancêtres reposent là. Elle a partagé un instant leur silence, dans les paysages sereins et sublimes qu’ils n’ont jamais quittés. Angèle Paoli D.R. Texte angelepaoli

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Jeanne Bresciani/« Avril brisé »

Jeanne Bresciani, Les Vestiges de Janvier,
Éditions Pétra, décembre 2004.

Rome, avril 2000 : « Avril est un mois cruel ».

Image, G.AdC

AVRIL BRISÉ

    Un an après la mort de son ami et ancien élève, Charles Janvier, le professeur Giambattista Bellingeri, qui a choisi pour pseudonyme d’écrivain le nom même de son ami défunt, confie à ses carnets intimes l’histoire de Charles : figure désenchantée de « l’éternel étudiant » en quête d’absolu. Est dessinée en contrepoint l’histoire de Vanina Ventiseri, éprise d’un amour éperdu pour Charles. Nina confie à Giambattista, à travers une correspondance dense et assidue, le détail de sa relation avec cet homme. Une relation amoureuse déchirante, tendue au plus extrême de l'incandescence, mais aussi de son point de rupture. Parce que construite sur le malentendu. Une passion d’emblée vouée à l’échec. Qui, pour l’essentiel, durera l'espace d’un matin. Tout en déposant dans les fibres de la mémoire et du corps des limons indélébiles.

    Entre les deux amants, que déchire ce bel et impossible amour, se glisse, également confident de Charles et de Nina, la figure du narrateur, qui livre à l’écriture souvenirs, analyses, interrogations et doutes. Meurtrissures. Qui sont aussi celles de ses amis.

    Le dernier roman de la Bastiaise Jeanne Bresciani, Les Vestiges de Janvier, se compose en apparence de deux volets de diptyque bien distincts, « Les Carnets de Charles », « Les lettres de Nina ». Mais c’est en réalité une partition polyphonique aux registres et ornements d'une complexité fascinante et piranésienne. Dont les voix se croisent, se nouent, se chevauchent, s’entrecroisent, se dénouent, pour tisser au final un lamento aux accents sublimement baroques et dolents. Cette composition « berninienne » est tout en jeux subtils de miroirs et de mises en abyme.

    Mais, si notes, fragments, lettres et commentaires, en se rejoignant et se disjoignant, mettent en évidence les strates fines de la composition, ils tracent aussi en filigrane le portrait de la véritable héroïne : la mémoire. Et son réseau de vestiges que la mémoire estompe et délaisse derrière elle. Et que chacun désespère de ranimer. « Qui sait si l’on ne souffre pas de trop de mémoire, même quand on ne se souvient de rien ? », est-il écrit dans les « Carnets de Charles », dans une note prise sur le vif (page 31).

    Le roman s’ouvre sur le souvenir de l'absent. Il se clôt sur un épilogue où module une tout autre voix. La voix d’une femme autre. Autre que Nina. Une voix aux harmoniques tout aussi irradiantes et douloureuses… plus bouleversante encore. La voix du « coup de théâtre final ».

    Un très beau roman que celui de Jeanne Bresciani. Un roman exigeant, absolu, sans concession aucune à la moindre facilité d'écriture. Imprégné d’une culture qui émerge d’un continent que l'on croit souvent englouti. Un roman certes baroque, mais dont la langue est toute de concision et de litote. Une langue qui relève davantage de celle d’une Madame de La Fayette ou d’un Guilleragues que de celle d'un Scarron.

    Mais n'ayez crainte. En dépit de ses accents élégiaques et de ses soupirs, ce roman ne manque pas de distance et d’humour. Il n’est qu’à lire l’épigraphe sur lequel s’ouvrent les « Carnets de Charles » : « Si l’imagination a pu coïncider avec la réalité, la faute doit en être attribuée, selon moi, à la réalité. » Exergue empruntée au romancier sicilien Andrea Camilleri. Un gourmet de la langue lui aussi. Il en subsiste quelques-uns.

Jeanne Bresciani, Les Vestiges de Janvier, Éditions Pétra, décembre 2004.


Angèle Paoli
D.R. Texte angelepaoli

EXTRAIT

    « Où se perd-il aujourd’hui ce regard qui m’avait un instant remarquée, brillant pour moi du feu clair d’un rire ou me lançant quelques éclairs d’orage ? Dans quel autre regard ou dans quelle autre absence ? Et tous ces gestes insignifiants qui suffisent à vous rendre amoureux d’une créature singulière, unique en son genre et seule de son espèce : l’éternelle chimère de nos pensées ? Et ces paroles qui se fondent au plus intime des vôtres comme si les langues échangeaient bien autre chose qu’un baiser en s’imprégnant de leur secrète substance ?
    On devrait logiquement mourir de cette absence qui vous emporte aussi et pourtant l’on survit et l’on recommence… avec plus ou moins de bonheur, à vouloir faire coïncider les débris, les fragments, les restes d’un amour perdu avec quelque vestige leur ressemblant dans le regard d’un nouvel inconnu, tenaillé par l’idée que l’on se fait - fausse généralement - de la solitude. »

Les Vestiges de Janvier, « Les lettres de Nina », p. 138.

BIO-BIBLIOGRAPHIE

    Née près de Bastia en 1949, Jeanne Bresciani vit et travaille à Paris. Elle a publié son premier ouvrage Affriques en 1981 aux éditions Tierce. Deux, rue de la marine (1999), écrit en collaboration avec sa sœur Hélène Bresciani, a obtenu le Prix du livre corse de langue française en 2000. Les Vestiges de Janvier (publié aux Editions Pétra en décembre 2004) est son quatrième ouvrage.

    Jeanne Bresciani se définit volontiers comme « un écrivain des figures de l’absence ». « Le vide de l’absence » et « la spirale du souvenir », qui en est une des figures élégiaques les plus abouties, semblent constituer l’envers piranésien ou le négatif (dans l’acception photographique du terme) d’une véritable quête ontologique de soi, en même temps que le tissu réticulaire de son espace romanesque.

    A propos de cet ouvrage, lire aussi la très belle contribution de Sahkti sur Zazieweb : « Fouiller la mémoire des autres pour se trouver. »

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Voir aussi : - (sur Terres de femmes) ma note de lecture sur Deux, rue de la marine, de Jeanne et Hélène Bresciani.

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L’oliu d’aliva in festa è "à l’antica"

D.R. Ph. angèlepaoli L’OLIU D’ALIVA IN FESTA È « À L’ANTICA »     Tout récemment, une amie m’a proposé un jeu. Plus qu’un jeu, un travail sur les mots ! À la manière de Francis Ponge ! Mais n’est pas Ponge qui veut. Tant pis, cela ne coûte rien de s’y frotter… même si ça pique un peu !     Soit le mot « huile », puisque c’est le mot qu’elle a choisi : en italien « huile » se dit « olio », en corse « oliu », en anglais « oil » . Et après, mystère ! Comment dit-on « huile » en chinois, en hindi, en ougaritique ou… en araméen ?     Comment aller à l'universel ? Soyons modeste et contentons-nous d’aller voir du côté des racines latines. Tous les mots ont des racines, enfin, je crois ! C’est d’ailleurs une des choses les plus mystérieuses qui soit, à mon sens !     « Huile » vient du latin « oleum » que l’on retrouve dans « oléagineux » ou « oléoduc ». Par exemple. Mais en quoi cela peut-il nous aider ? Je crains fort que, pour le jeu qui nous occupe, les racines latines ne nous soient pas d'une grande utilité.     Comment procéder ? Comment faire le tour de l’huile ? Ces huiles sont si nombreuses, presque aussi nombreuses que les fruits dont elles sont extraites. Huile de noix, huile de soja, huile de tournesol, de pépin de raisin. Huile d'arganier ! Excellente pour la peau ! Huile d’amande douce. Chacune a son odeur. Plus fade, plus âpre, plus nacrée, plus amère ; plus entêtante, plus obstinée ! Chacune a sa teneur particulière. Plus grasse, plus légère, plus fruitée ! Plus translucide ou plus épaisse, plus lourde.     Dans les pays froids, les huiles proviennent d’animaux. Huile de foie de morue, huile de phoques, huiles de baleines. Ce sont des graisses fortes, plus fortes que les huiles végétales ; mais quelle que soit leur provenance, les huiles réchauffent le corps et irriguent la peau, la protègent. Rien n’est plus apaisant pour le corps et pour l’âme qu’un massage aux huiles essentielles.     Comment faire le tour de l’huile ? Aller là où nous porte notre préférence. Pour moi, l’huile, la vraie, l’unique, celle qui est vraiment huileuse, comme la mer étale, sans ride aucune, celle qui est vraiment fruitée, c'est l'huile d’olive. Chacune de ces huiles provient d’une graine et d’un fruit différent (en Corse, variétés Germaine, dont la Germaine d'Alta Rocca, et Sabine). Fruits du soleil pour la plupart.     Qui dit huile, dit donc pour moi olive ! Mais l’olive est modeste et timide. Drupe minuscule, légèrement oblongue, ovoïde, le fruit vert pâle se cache sous les feuilles délicatement argentées de l’olivier. « A cugliera », l'olivaison, se fait à maturité, de décembre à mai, pour le procédé d'élaboration traditionnel : la pulpe est alors légérement colorée. En tendant des filets sous les arbres. En Corse, il était rare que les cugliatori (des femmes pour la plupart d'entre eux) gaulent ou "peignent" les frondaisons, même si les olives déjà tombées à terre donnaient une huile au goût âcre. Copyright D.R.     Geste ancestral que cette cueillette, que l’on tente de réhabiliter partout où les oliveraies occupent terrasses et restanques. Une fois le précieux trésor mis dans des couffes, les olives sont stockées plusieurs jours, nettoyées, passées au crible et séchées au soleil, puis acheminées, à dos d’ânes ou de mulets, vers le moulin à huile. Ce transport à dos de mulet est ce qu'on appelait autrefois en Corse una mulata.     En Corse, le moulin à huile est appelé u franghju ou bien u fragnu. Ces mots étranges ne le sont pas autant qu’il y paraît. Eux aussi proviennent du latin : « frangere » qui signifie « briser », « concasser ». Dans l’énorme cuve monolithique tronconique du franghju, doublée à l'intérieur de bois (conca), la meule de pierre (macina) tourne sur son axe, actionnée par deux mulets. Pulpe et noyaux d'olives sont alors concassés et broyés (on dit précisément détrités), et la pâte obtenue après le détritage (a franta) est répartie dans des scourtins d'alfa à tresses serrées, des zimbine. Qui sont ensuite empilés sous la presse à vis (parfois à cabestan), jusqu'à une hauteur de presque deux mètres. Les fragnatori recueillent ensuite le liquide mordoré avec une paletta (sorte de pelle plate) pour finalement le verser dans des jarres pansues en terre cuite vernissée. Où l'huile repose plusieurs mois durant avant d'être transvasée et filtrée. L'huile vierge est l'huile noble recueillie en premier, la seconde huile, plus verdâtre et moins limpide, étant celle que l'on obtient après ébouillantement des zimbine. Huile réservée aux fritures et non pas à l'assaisonnement des légumes et salades.     Il en était déjà ainsi aux temps des Bucoliques de Virgile. Aujourd’hui, la Corse a renoué avec ses gestes ancestraux et l’huile de la Balagne a retrouvé sa renommée.     L’huile d’olive, c’est le souvenir des goûters de mon enfance. Le pain humecté d’un filet d’or saupoudré de sel. À quoi s’ajoutait encore le plaisir d’écraser entre les doigts, au-dessus de la tartine, les feuilles de menthe séchée ! Angèle Paoli D.R. Texte angèlepaoli D.R. Ph. angèlepaoli

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Les lectures d'@angelepaoli

INDEX BIBLIOGRAPHIQUE DES OUVRAGES et AUTEURS SUR LESQUELS ET AUTOUR DESQUELS J'AI RÉDIGÉ UN TEXTE CRITIQUE PUBLIÉ SUR TdF* • Adler (Laure)/Isabelle Eshraghi, "Hier, je ne connaissais pas Isabelle Eshraghi", femmes hors du voile, Éditions du Chêne, septembre 2008. (NOTE DE LECTURE) • Agamben (Giorgio), "Écritures bustrophédiques", Idée de la prose, Christian Bourgois, 1988, rééd. 1998. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Agus (Milena), "La dimonia de Cagliari", Mal de pierres, Liana Levi, 2006. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Alentour (Isabelle), "Elle invente pour elle « un berceau qui contiendrait le ciel »", Louise, Éditions LansKine, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Alexis (Robert), "La Robe merveille", La Robe, José Corti, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Alkalay-Gut (Karen), "«je cherche… cette partie d’eux qui me compléterait»", Survivre à son histoire, poèmes d’Holocauste, édition bilingue, Revue Nunc | Éditions de Corlevour, 2020. Traduction de l’anglais par Sabine Huynh. (NOTE DE LECTURE) • Almassy (Eva), "Adam-gant... et Ève-dentelle", Autobiographie d’un fantôme, Médium, L’École des loisirs 2007, pp. 88-89. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Almassy (Eva), "Des petites filles qui rient dans le soleil", Petit éloge des petites filles, Gallimard, Collection folio, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Althen (Gabrielle), "Une traversée d’amande noire", La Cavalière indemne, Al Manar | Alain Gorius, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Alyn (Marc), "Du faucon qui plonge au vol de l’épervier : l’amour la poésie", Le temps est un faucon qui plonge, éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Ancet (Jacques), "Habiter l’arborescence", Image et récit de l’arbre et des saisons, éditions Publie.net, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Anedda (Antonella), "Sainte Lucie", Nocturne (Notti di pace occidentale), Editions Donzelli, Roma, 1999. (ARTICLE) • Anselmo (Marielle), "« Dans l'infini bleu », dit le poème", Jardins, Tarabuste, Collection DOUTE B.A.T., 2009.(NOTE DE LECTURE) • Arguedas (Pascale), "La photo coquelicot", Pourquoi, Éditions Alphabet de l’Espace, Chambéry, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Arnaut Daniel, "Ongle et oncle d'Arnaut Daniel (sextine)". (ARTICLE) (EXTRAIT) • Arth (Adrienne), Claude Ber, Joëlle Gardes, "De l'art comme exercice spirituel", Méditations de lieux, Éditions de l’Amandier, mai 2010. (NOTE DE LECTURE) • Ar Vot (André), "Al di là delle nuvole", Cent vues de l'enclos des nuages, José Corti, 2004. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT). • Ascal (Françoise), "Aniane, « Entre ronces et barreaux »", Levée des ombres, Éditions Atelier Baie, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Ascal (Françoise), "La voix ténue de la joie", Des voix dans l’obscur, Éditions Æncrages & Co, Collection Ecri(peind)re, 2015. Dessins de Gérard Titus-Carmel. (NOTE DE LECTURE) • Ascal (Françoise), "Un rêve minéral", Lignées, Æncrages & Co, Collection Ecri(peind)re, 2012. Dessins de Gérard Titus-Carmel. (NOTE DE LECTURE) • Ascal (Françoise), L’Obstination du perce-neige (Carnets 2012-2017), éditions Al Manar, Collection Approches & Rencontres, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Ascal (Françoise), Variations-prairie, suivi de Mille étangs, Lettre à Adèle, Colomban, éditions Tipaza, 2020. Peintures de Pascal Geyre. (NOTE DE LECTURE) • Azam (Édith), "« Je voudrais devenir oiseau »", Décembre m’a ciguë, P.O.L, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Azam (Édith) | Bernard Noël, "Mon nom porte le tien à la présence", Retours de langue, éditions Faï fioc, 54200 Boucq, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Bachmann (Ingeborg), "Sombres et rouge sang sont mes désirs", Lettres à Felician [Briefe an Felician, 1991], Actes Sud, 2006. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Baldacchino (Adeline), "« Écoutez : je raconte »", Théorie de l’émerveil, Les Hommes sans Épaules éditions, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Baldacchino (Adeline), "Des revers de l’âme à la « toupie de verre » ", 13 poèmes composés le matin (pour traverser l’hiver), éditions Rhubarbe, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Bancquart (Marie-Claire), "« Quand j’aurai vécu ma dernière nuit de femme »", Figures de la Terre, Poésie, Éditions PHI, Collection Graphiti 107, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Bancquart (Marie-Claire), "Trilogie duplice", Impostures, L’Amourier éditions, Collection Thoth, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Bancquart (Marie-Claire), "En quête d'une identité blanche", Violente vie, Le Castor Astral, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Barendson (Samantha), "Une écriture qui fait mouche", Le Citronnier, Le Pédalo ivre, Collection poésie, Lyon, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Bastard (Joël), "« Les grandes éoliennes »", Une cuisine en Bretagne, Éditions LansKine, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Bastide (Jeanne), "Le silence bruissant de la vigne", La Fenêtre du vent, L’Amourier éditions, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Bastide (Jeanne), Lucarnes, L’Amourier, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Bastide (Jeanne), "Ne lâche pas ta joie. Jamais.", Rouge enfance, récit, éditions Domens, Pézenas, 2019.(NOTE DE LECTURE) • Bastide (Jeanne), "N’ai-je été qu’un déjeuner de soleil pour toi ? ", Un déjeuner de soleil, L’Amourier éditions, Collection Thoth, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Bastide (Jeanne), "Sous le bruissement de la langue", Un silence ordinaire, L’Amourier éditions, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Bauchau (Henry), "C'est l'heure où les lions vont boire", Diotime et les lions, Actes Sud, Collection Babel, 1999. (NOTE DE LECTURE) • Baude (Jeanine) & David Hébert, "Dans le perpétuel mouvement d’une existence et d’une écriture", Ouessant, Éditions des Vanneaux, Collection Carnets nomades, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Baude (Jeanine), "« Entre extase et abîme », le Oui de Jeanine Baude", Oui, La Rumeur libre Éditions, Collection Plupart du temps, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Beauvoir (Simone de), Mémoires d’une jeune fille rangée, Gallimard, 1958, collection Folio. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Benedetto (Albertine), "Une furieuse envie de vivre", Vider les lieux, éditions Al Manar, Collection Poésie, 2019. Dessins d’Hélène Baumel. (NOTE DE LECTURE) • Ber (Claude), "Et qu’enfin « s’apaisent loups et lions… »", Épître Langue Louve, Éditions de l’Amandier, Amandier Poésie, Collection Accents graves | Accents aigus, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Ber (Claude), "Au lointain d’exister nous nous joignons", Il y a des choses que non, Éditions Bruno Doucey, Collection « Soleil noir », 2017. (NOTE DE LECTURE) • Ber (Claude), "Fa che Euridice tornilla goder", La mort n'est jamais comme, Ed. Via Valeriano-Léo Scheer, 2003 ; rééd. Éditions de L'Amandier, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Ber (Claude)/Cyrille Derouineau, "Fascinations", Vues de vaches, L’Amourier, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Ber (Claude)/Pierre Dubrunquez, "Le décisif de vivre", L’Inachevé de soi, Éditions de l’Amandier, Collection Le Voir Dit, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Berlottier (Sereine), "« Et maintenant, peut-être que tu crois à l’amour ? »", Au bord, Éditions LansKine, Collection « Poéfilm », 2017. (NOTE DE LECTURE) • Berlottier (Sereine), "Louis Soutter ou le cri intérieur du peintre", Louis sous la terre, Argol éditions, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Bertoncini (Marilyne), "Un poème au rythme hauturier", La Dernière Œuvre de Phidias, Encres vives, n° 453, avril 2016. (NOTE DE LECTURE) • Bertoncini (Marilyne), "« Sur la courbe du monde »", Labyrinthe des nuits, Recours au poème éditeurs, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Bertoncini (Marilyne), "L’amour plus fort que la mort ?", La Noyée d’Onagawa, Jacques André éditeur, collection Poésie XXI N° 58, 2020. Préface de Xavier Bordes. (NOTE DE LECTURE) • Bessette (Hélène), "Le KB7", Le Bonheur de la nuit, Éditions Léo Scheer, Collection Laureli dirigée par Laure Limongi, 2006. (ARTICLE) • Biagini (Elisa), "Je m’écris d’entre les nœuds" , Depuis une fissure, édition bilingue, éditions Cadastre8zéro, Collection Donc dirigée par Bernard Noël, 80000 Amiens, 2017. (NOTE DE LECTURE d’AP) • Biagini (Elisa), "À la croisée des chemins de lecture", Nel bosco, Giulio Einaudi Editore, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Biancarelli (Marc), "Les poings dans les poches", Vae victis et autres tirs collatéraux, Materia Scritta, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Blackburn (Paul), "Black Angel", Villes suivi de Journaux, Série américaine, José Corti, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Blanchard (Anne-Lise), "Derrière la menace, un chant d’espoir", Le Soleil s’est réfugié sous les cailloux, Poésie, éditions Ad Solem, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Bobin (Christian), "Le dernier Dieu diamantaire", La Dame blanche, Gallimard, Collection L’un et l’autre, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Bohi (Claudine), "« C’est dans la bouche que tu tentes d’habiter » ", Naître c’est longtemps, éditions la tête à l’envers, 58330 Crux-la-Ville, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Bonaviri (Giuseppe), "« Un mouvement sans début ni fin » ", Les Commencements Éditions La Barque, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Bonduelle (Christine), "Un mystérieux « blason de ménage »", Ménage, Obsidiane, Collection Les Solitudes dirigée par François Boddaert, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Bonhomme-Villani (Béatrice), "Déploration/Résurrection", Mutilation d’arbre, Collodion, mai 2008. (NOTE DE LECTURE) • Bonnefoy (Yves), "Une silencieuse ordalie", L’Arrière-pays [1972], Collection Poésie/Gallimard, 2003. (NOTE DE LECTURE) • Bonnefoy (Yves), "Une voix", Les Planches courbes, Gallimard, Collection Poésie, 2001. (EXTRAIT)(ARTICLE)(LIEN VERS ARCHIVE VIDEO) • Bonnefoy (Yves), Les Planches courbes. Feuilleton pédagogique (en XXVI épisodes) à l'intention des lycéens. • Bonnery (Serge) et Alain Freixe, "La poésie, « une voix directe vers l’humain »", Les Blessures de Joë Bousquet, 1918-1939, éditions Trabucaire, 66140 Canet, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Bosc (Julien), "Faire mémoire de « l’humble fraternité »", Le coucou chante contre mon cœur, éditions le Réalgar, collection l’Orpiment dirigée par Lionel Bourg, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Bosc (Julien), "Le phare port d’attache", La Demeure et le lieu, suivi de Jacques Lèbre, Quelques bribes - gagnées sur la mélancolie, éditions Faï fioc, 54200 Boucq, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Bosc (Julien), "Entre charmes et sortilèges", Elle avait sur le sein des fleurs de mimosa, éditions la tête à l’envers, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Bosc (Julien), "« Des os et des os-sèmes dans la bouche »", Goutte d’os, éditions Collodion, 2020.(NOTE DE LECTURE) • Bosco (Henri), L’Enfant et la rivière, Gallimard, Collection Folio, 1976. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Bota (Jean-Paul), "« Une voix dit : j’ai dérangé des courants »", La Boussole aux dires de l’éclair, Tarabuste Éditeur, Collection DOUTE b.a.t. Poésie, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Boucheron (Patrick), "L'énigme non élucidée d'un silence", Léonard et Machiavel, éditions Verdier, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Bourg (Lionel), Journal d'Anduze, éditions Jacques Brémond, 1993. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Bourg (Lionel), Une certaine latitude, Éditions Jacques Brémond, 1990. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Bourgois (Sabine), "Tombeau pour Cécile", Les Unités, Un Comptoir d’édition, Collection “Nous y sommes”, 26190 Rochechinard, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Brackenbury (Rosalind), "Entre deux mouvements", Jaune Balançoire | Yellow Swing, Poésie, Éditions de l’Amandier, Accents graves-accents aigus, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Brancion (Paul de), "La vérité au risque du meurtre", Ma Mor est morte, Éditions Bruno Doucey, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Bresciani (Jeanne et Hélène), "Voceru", Deux, rue de la marine, Editions Les Vents contraires, Aix-en-Provence, 1999. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Bresciani (Jeanne), "Avril brisé", Les Vestiges de Janvier, Éditions Pétra, décembre 2004. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT)(BIO-BIBLIOGRAPHIE) ▪ Breton (André), "Tu es la petite fille de mes rêves", Lettres à Aube, éditions Gallimard, Collection blanche, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Brussell (Samuel), "Un alphabet inépuisable", Alphabet triestin, éditions la Baconnière, Genève, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Buisset (Dominique), "À rebours", Quadratures, Éditions NOUS, Collection Disparate, novembre 2010. (NOTE DE LECTURE) • Burgazzoli (Emanuela), Plans sécants, Paris, éditions L. Mauguin, 2004. (EXTRAIT)(ARTICLE) • Butor (Michel), "Et omnia vanitas", Vanité, Conversation dans les Alpes-Maritimes, Editions Balland, Collection Le Commerce des idées, 1980.(ARTICLE)(EXTRAIT) • Caër (Jean-Claude), "Vers « la sente du nord » ", Devant la mer d’Okhotsk, éditions Le Bruit du temps, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Caër (Jean-Claude), "Le chant salish de Jean-Claude Caër", En route pour Haida Gwaii, Obsidiane, 2011. (EXTRAITS)(NOTE DE LECTURE) • Caillon (Christine), "Ombra mai fu", Autoportrait en arbres, Éditions La Pierre d’Alun, 2013, pp. 60-61. Flexographies de Kikie Crêvecœur. Préface de Jean-Louis Giovannoni. (NOTE DE LECTURE) • Calas (Anne), "Une écriture du désir", Littoral 12, Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Calas (Anne), "« Je déborde à la marge »", Honneur aux serrures, Éditions Isabelle Sauvage, Collection présent (im)parfait, 29410 Plounéour-Ménez, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Camus (David), "Regards croisés d'une femme", Les Chevaliers du Royaume, Robert Laffont, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Carrière (Jean-Claude), "Une correspondance épicée", Les Mots et la chose, Plon, 2002. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Cartier (Gérard), "Un voyage immobile autour du monde", Le Voyage de Bougainville, Éditions de L’Amourier, Fonds Poésie, Collection dirigée par Alain Freixe, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Carvalho (Frédérique de), " « lalangue – de – cela – qui – nous éblouit ». Une épiphanie", barque pierre, éditions Isabelle Sauvage, Collection pas de côté, 29410 Plounéour-Ménez, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Causse (Stéphan), "Dans un regard à contre jour", À deux pas dans le silence, Éditions du Petit Pois, Collection Correspondances, Béziers, 2015. Peintures de Bernard Jouanne. (NOTE DE LECTURE) • Cavalli (Patrizia), Mes poèmes ne changeront pas le monde, édition bilingue, des femmes-Antoinette Fouque, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Ceccaty (René de), "Pier Paolo, le poète assassiné", Sur Pier Paolo Pasolini, Editions du Rocher, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Cendors (Pierre), "Sous la voix magnétique du daïmôn", Les Fragments Solander, La dernière goutte, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Cesari (Stefanu), "Au cœur de la fleur inverse", Bartolomeo in cristu, poèmes, édition bilingue (corse-français), éditions Éoliennes, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Chabuel (Élisabeth), "Ce qu'il reste, c'est un souffle", Veilleur, Éditions Imprévues, Die, août 2014. (NOTE DE LECTURE) • Chalamov (Varlam), "« Les vers ‒ ce n’est pas qu’une illumination »", Cahiers de la Kolyma et autres poèmes, nouvelle édition augmentée de 34 poèmes inédits en français, Éditions Les Lettres Nouvelles-Maurice Nadeau, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Chambon (Jean-Pierre), "Des lecteurs et de quelques considérations qu’il me plaît de tenir autour de ce livre", Des lecteurs, Harpo & éditions, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Chambon (Jean-Pierre), "Au-delà du vacillement de la paupière", L’Écorce terrestre, éditions Le Castor Astral, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Chambon (Jean-Pierre) | Marc Negri, "« Mais la barque s’éloigne… »", Fleuve sans bords, La Petite Fabrique, 38760 Varces, novembre 2010. (NOTE DE LECTURE) • Charlet (Nicolas), « Je suis hanté. L'Azur ! L'Azur ! », Trilogie du bleu : La Chair du bleu ; Les Yeux du ciel; Je vous baigne avec moi dans le bleu, Editions Le Pli, Orléans, 2002, 2004, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Charnet (Yves), La tristesse durera toujours, La Table Ronde, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Chedid (Andrée), Entre Nil et Seine, entretiens avec Brigitte Kernel, éditions Belfond, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Christensen (Inger), "La chambre peinte, « œuvre ouverte »", La Chambre peinte | Un récit de Mantoue, Le Bruit du temps, 2015. Traduit du danois par Karl et Janine Poulsen. (NOTE DE LECTURE) • Cixous (Hélène), "Rendre Ève à sa façon magnolienne et radieuse", Ève s’évade, éd. Galilée, Collection Lignes fictives, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Cixous (Hélène), "Petites Erinyes de la conscience", L'Amour du loup et autres remords, éd. Galilée, 2003. (NOTE DE LECTURE) • Cixous (Hélène) (ARTICLE BIO-BIBLIOGRAPHIQUE)(EXTRAIT) • Cixous (Hélène), "Le-tablier-mémoire-de-la-mère", Le Tablier de Simon Hantaï, Annagrammes suivi de H.C, S.H, Lettres, Galilée, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Clair (Jean), "Les avatars stercoraux de l’art", De Immundo, Galilée, 2004. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAITS) • Claudel (Paul), Partage de Midi, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1964. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Clédat (Françoise), "Autour de l'oiseau-fauve-vautour", EtnaXios, L’Amourier éditions, Collection Ex cætera, 2008. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Clédat (Françoise), "La nuit de l'ange", L’Ange Hypnovel, Dernier Télégramme, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Clédat (Françoise), "Au-delà des extinctions multiples, sa mort d’elle", Ils s’avancèrent vers les villes, Tarabuste éditeur, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Clédat (Françoise), "le texte quand il se tait", Mi(ni)stère des suffocations, éditions Tarabuste, 2021. ( NOTE DE LECTURE) • Clédat (Françoise), "« Laisser parler la rivière »", Rivière et Alaskas, Tarabuste éditeur, Collection DOUTE B.A.T., 2019. (NOTE DE LECTURE) • Clédat (Françoise), "Une écriture de la résistance et du refus ?", Une baie au loin (Turnermonpère), Tarabuste Éditeur, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Cnudde (Sandrine), "Une voix vivifiante d’« une verticale chantante »", Gravité/Gravedad, éditions Lanskine, Collection « l’Instantané », 2015. (NOTE DE LECTURE) • Cnudde (Sandrine), "Un chant d’éternité", Habiter l’aube, Tarabuste, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Cohen (Albert), Belle du seigneur, Gallimard, Collection blanche, 1968  rééd. 1979. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Collin (David), "« Revenir en arrière pour aller en avant »", Les Cercles mémoriaux, L’Escampette Éditions, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Commère (Pascal), "Oubli, savants décombres", Mémoire, ce qui demeure, Tarabuste Éditeur, Collection Reprises, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Commère (Pascal), "L’étrange voix du monde", Territoire du Coyote, Tarabuste Éditeur, Collection Doute b.a.t. Poésie, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Constant (Paule), "Les couloirs de la mort", Sucre et secret, Gallimard, Collection blanche, 2003. (NOTE DE LECTURE) • Cottron-Daubigné (Patricia), "Ainsi se vit ainsi se construit l'histoire des hommes", Ceux du lointain, Éditions L’Amourier, Collection Fonds Poésie, 2017. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Courtade (Fabienne), "Entre les courbes sinusoïdales du temps", Table des bouchers, poésie, Flammarion/Poésie, 2008.(NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Crébillon (Claude-Prosper Jolyot de), dit Crébillon fils (ARTICLE BIO-BIBLIOGRAPHIQUE)(EXTRAIT) • Dalzeto (Sebastianu), "Pesciu Anguilla, rumanzu bastiese", Pépé l'Anguille, fédérop, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Darricarrère (Carole), "Les doubles jeux du (Je)", Le (Je) de Léna, Melville éditeur, 2004. (NOTE DE LECTURE) • Da Silva (Patrick), "Le temps soustrait", Demain, L’Amourier éditions, Collection Thoth, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Decourt (Guillaume), "« J’ai perdu mon panama »", Le Cargo de Rébétika, éditions LansKine, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Deffand (Madame du), "Portrait d’une femme des Lumières" (EXTRAIT)(ARTICLE) • Degroote (Ludovic), "josé tomás, une faena tauromachique aboutie", josé tomás, Éditions Unes, 2014. (EXTRAIT)(NOTE DE LECTURE) • Degroote (Ludovic), "« Quoi qu’on écrive, on écrit de l’intérieur »", zambèze, Editions Unes, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Delaume (Chloé), "J'écris pour que tu meures", Dans ma maison sous terre, Le Seuil, Collection Fiction & Cie, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Déloire (Guillaume), "Face à l’abstraction", Le Graillon, éditions des Vanneaux, Collection l’Ombellie, 2018. (NOTE DE LECTURE) • De Luca (Erri), "Un maître de la pierre angulaire", Première heure [Ora prima, Ed. Qipajon, 1997], Bibliothèque Rivages, 2000. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Deluy (Henri), "Dernier corps dernière solitude", L’Heure dite, Éditions Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, octobre 2011. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Desautels (Denise), "« Dis oui nombreuse à voix violente »", D’où surgit parfois un bras d’horizon, Inventaires 2012-2016, Éditions du Noroît, Collection Poésie, 2017. (NOTE DE LECTURE) • De Signoribus (Eugenio), "Autour du cercle, quoi de visible sinon le néant ?", Ronde des convers, Verdier, Terra d’altri, 2007. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Dhainaut (Pierre) | Isabelle Lévesque, "Messages d’avril", La Grande Année, éditions L’herbe qui tremble, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Diaz (Michel), "« Dans la complicité des arbres et la confidence du fleuve »", Comme un chemin qui s’ouvre, L’Amourier éditions, Collection Fonds Poésie, dirigée par Alain Freixe, 2019. (NOTE DE LECTURE) • di Manno (Yves), "Rigor of beauty is the quest", Objets d’Amérique, José Corti, « Série américaine », 2009. (NOTE DE LECTURE) • di Manno (Yves), "« La galaxie poétique » d’Yves di Manno", Terre ni ciel, Éditions Corti, Collection « en lisant en écrivant », 2014. (NOTE DE LECTURE) • Doumet (Christian), “Ainsi font nos huttes…”, Trois huttes, Fata Morgana, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Draghincescu (Rodica), "Une poétique de la devise ou Rienne est plus comme avant", Rienne, Editions de l’Amandier, Collection Accents graves/Accents aigus, 2015. Hors-texte de Suzana Fântânariu. (NOTE DE LECTURE) • Dreyfus (Ariane), "« Je ne cesserai d’éclore que pour cesser de vivre »", Le Dernier Livre des enfants, Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Dreyfus (Ariane), "Comment habiter l'inhabitable", L'Inhabitable, Éditions Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Dreyfus (Ariane), " « c’est de vivre que je parle »", Sophie ou la vie élastique, Le Castor Astral, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Dupuy-Dunier (Chantal), "Les poèmes-origamis de Chantal Dupuy-Dunier ou De la verticalité de l’écriture", Mille grues de papier, Éditions Flammarion, Collection Poésie/Flammarion dirigée par Yves di Manno, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Duras (Marguerite), Un barrage contre le Pacifique, Éditions Gallimard, Collection Folio, 1950. (ARTICLE)(EXTRAIT)(LIEN VERS ARCHIVE SONORE) • Durbec (Sylvie), "La grande fleur où s'origine l'écriture", Marseille, Éclats & quartiers, Éditions Jacques Brémond, Remoulins-sur-Gardon (Gard), 2009. (NOTE DE LECTURE) • Eberhardt (Isabelle), Écrits sur le sable, Œuvres complètes, tome 1, Grasset, 1988. (EXTRAIT)(ARTICLE) • Eshraghi (Isabelle)/Laure Adler, "Hier, je ne connaissais pas Isabelle Eshraghi", femmes hors du voile, Éditions du Chêne, septembre 2008.(NOTE DE LECTURE) • Étienne (Marie), "Dans le chagrin de la page", Haute lice, José Corti, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Fabre G. (Sylvie), L'Approche infinie, le dé bleu, 2002. (NOTE DE LECTURE) • Fabre G. (Sylvie), Dans l’attente d’un prolongement qui se meurt, Corps subtil, L’Escampette Editions, Collection Poèmes, 2009. Préface de Claude Louis-Combet. (NOTE DE LECTURE) • Fabre G. (Sylvie), "Voix de silence sur la page", Frère humain, L’Amourier éditions, Collection Fonds Poésie, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Fabre G. (Sylvie), "L’ode et le lamento", Pays perdu d’avance, éditions L’herbe qui tremble, 2019. Peintures de Fabrice Rebeyrolle. (NOTE DE LECTURE) • Fabre G. (Sylvie), "Bruissements", Quelque chose, quelqu’un, L’Amourier, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Fabre G. (Sylvie), "« La claire perfection » de l’enfance", Tombées des lèvres, L’Escampette, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Fargier-Caruso (Mireille), "Presque rien... l’eau du poème où se désaltérer", Ces gestes en écho, Paupières de terre, 2006. (NOTE DE LECTURE + EXTRAIT) • Faure (Étienne), "Les chutes du poète écureuil", Et puis prendre l’air, poèmes en prose, éditions Gallimard, Collection Blanche, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Faure (Étienne), "La chute en beau sépia", Tête en bas, poèmes, éditions Gallimard, Collection Blanche, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Fenzy (Estelle), "« Le bout du voyage  »", Poèmes Western, Éditions LansKine, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Fenzy (Estelle), "Rouge vive, une brocéliande amoureuse et sauvage", Rouge vive, éditions Al Manar | Alain Gorius, 2016. Dessins de Karine Rougier. (NOTE DE LECTURE) • Fenzy (Estelle), "la vie fragile la mort-douleur", Sans, Collection Poésie en voyage, Éditions La Porte, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Ferranti (Marie), "Mort et résurrection d’une île ?", La Chasse de nuit, Gallimard, Collection blanche, 2004. (NOTE DE LECTURE)(BIO-BIBLIOGRAPHIE)(EXTRAIT) • Ferranti (Marie), "Rappelle-toi Barbara", La Princesse de Mantoue, Gallimard, 2002. (NOTE DE LECTURE)(BIO-BIBLIOGRAPHIE) • Ferranti (Marie), "Postures et impostures de l'écrivain", Lucie de Syracuse, Gallimard, Collection blanche, 2006. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Ferranti (Marie), "De l'utopie à la réalité", Une haine de Corse. Histoire véridique de Napoléon Bonaparte et de Charles-André Pozzo di Borgo, Gallimard, Collection blanche, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Ferrari (Jérôme), "«L'espace intérieur de l'âme»", Le Sermon sur la chute de Rome, roman, Actes Sud, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Ferrari (Jérôme), "Une double rédemption littéraire", Où j’ai laissé mon âme, Actes Sud, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Ferrat (Stéphanie), Magali Ballet, "dans ce rai de lumière qui troue l’opacité", Cette surface bordant le noir, Propos 2 éditions, Collection Le Mur dans le miroir, Manosque, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Ferrini (Jean-Pierre), "J'ai cherché l'autre et j'ai trouvé moi-même", Le Pays de Pavese, Gallimard, Collection L’un et l’autre dirigée par J.-B. Pontalis, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Finck (Michèle), " « Neigécrire ». Dit-elle", Connaissance par les larmes, éditions Arfuyen, Collection Les Cahiers d’Arfuyen, volume 233, 2017. NOTE DE LECTURE) • Finck (Michèle), "V[aria]tions comme essence du poétique", Sur un piano de paille, Variations Goldberg avec cri, éditions Arfuyen, Collection Les Cahiers d’Arfuyen, volume 243, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Florit (Rita R.), "Lie-moi serrée à ta volonté nue", Passo nel fuoco, Edizioni d’If, Napoli, 2010. (ARTICLE) • Flory (Eli), "« Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement »", La Barbe d’Olympe de Gouges et autres objets de scandales, Alma, éditeur, Paris, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Foglia (Aurélie), "Une vie irrattrapable", Comment dépeindre, éditions Corti, Domaine français, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Fournier (Danielle), "La couleur mauve des mots", Iris, in Danielle Fournier | Luce Guilbaud, Iris, Éditions de l’Hexagone, Montréal, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Frappat (Hélène), "Sous réserve de folie", Sous réserve, éditions Allia, 2004. (NOTE DE LECTURE) • Freixe (Alain), "Du poète au marcheur, les mêmes anneaux de solitude et de silence", Contre le désert, L’Amourier éditions, Collection “Fonds Poésie”, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Freixe (Alain), "« Ces lueurs que dissipent les souffles »", Vers les riveraines, Éditions de L’Amourier, Collection Fonds Poésie, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Freund (Gisèle), "Gisèle Freund à Milan". (CHRONIQUE) • Le Frisson esthétique/« Dans le train » (CHRONIQUE sur le N° 4 du Frisson esthétique, printemps 2007). • Fusina (Jacques), Écrire en corse, Klincksieck, Collection « 50 questions », 2010. (NOTE DE LECTURE) • Gamoneda (Antonio), "Cecilia, « l’ultime fleur »", Cecilia, Éditions Lettres vives, Castellare-di-Casinca (Haute-Corse), 2006. (ARTICLE)(EXTRAIT) (LIEN VERS ARCHIVES SONORE) • Garat (Anne-Marie), Hongrie, éditions Actes Sud, Collection Un endroit où aller, 2009. (NOTE DE LECTURE) ▪ Garcin (Christian), "Lectures vagabondes, du Mexique à Budapest", À Budapest, éditions circa 1924, 2007, rééd. 2014. (NOTE DE LECTURE) ▪ Garcin (Christian), "Lectures vagabondes, du Mexique à Budapest", L’Étrange Sérénité des fonds marins, éditions circa 1924, 2014. (NOTE DE LECTURE) ▪ Garcin (Christian), "Cette magie-là, primitive et primordiale", La Piste mongole, Éditions Verdier, 2009. (NOTE DE LECTURE) ▪ Garcin (Christian), "« Ceci est peut-être une fiction »", Selon Vincent, Éditions Stock, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Gardes (Joëlle), "Tout reste à dire", Dans le silence des mots, Poésie, Collection Accents graves/Accents aigus, Éditions de l’Amandier, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Gardes (Joëlle), "Lucie, De lumière et d'ombre", Jardin sous le givre, Éditions Aden, 2007. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Gardes (Joëlle), "Les arcanes subtils d'une relation triangulaire", La Mort dans nos poumons, Via Valeriano/Editions Leo Scheer, 2003. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Gardes (Joëlle), "Le vrai visage de Louise Colet", Louise Colet | Du sang, de la bile, de l’encre et du malheur, Éditions de l’Amandier, Collection Mémoire vive, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Gardes (Joëlle), "Le plaidoyer fervent de Joëlle Gardes", Olympe de Gouges, Une vie comme un roman, Éditions de l’Amandier, 2008, pp. 11-12,13-14, 23-24, 49-50. (NOTE DE LECTURE • Gardes (Joëlle), "Ostinato e chiaroscuro", Ruines, Via Valeriano/Editions Leo Scheer. (NOTE DE LECTURE) • Gardes (Joëlle), Saint John-Perse, Les rivages de l'exil, biographie, éditions aden, 2006.(NOTE DE LECTURE) • Gauthier (Laure), "« Partir dans la langue de l’autre pour se départir  »", je neige (entre les mots de villon), Éditions LansKine, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Gauthier (Laure), "Ceci n’est pas de la poésie", kaspar de pierre, éditions de La Lettre volée, Collection Poiesis, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Gayraud (Irène), "Entre sexe et livre : habiter son idée", Le Livre des incompris, Éditions Maurice Nadeau, Collection Les Lettres Nouvelles, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Genet (Jean), "Les paravents, métaphores de l'hypocrisie occidentale", Les Paravents, Gallimard, Collection Folio, 1981. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Genovese (Andrea), "Tirrimoti (Séismes)", Dans l’utérus du volcan, Éditions Maurice Nadeau, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Germain (Sylvie), "Une écriture du souffle", Magnus, Albin Michel, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Giovannoni (Jean-Louis), "« Des oiseaux circulent en nous »", L’Échangeur souterrain de la gare Saint-Lazare, roman intérieur, éditions Unes, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Giovannoni (Jean-Louis), Issue de retour, Éditions Unes, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Giovannoni (Jean-Louis), "« Le regard ne contient pas assez »", Sous le seuil, récit, Éditions Unes, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Giovannoni (Jean-Louis), "L’enfance s’éloigne, Voyages à Saint-Maur demeure", Voyages à Saint-Maur, récit, Éditions Champ Vallon, Collection recueil, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Giovannoni (Jean-Louis) | Stéphanie Ferrat, "Les travailleurs de l'ombre", Collection « Les Moches », éditions Pavupapri | les mains, 2010-2012. (NOTE DE LECTURE) • Giovannoni (Jean-Louis) | Marc Trivier, Ne bouge pas !, La Pierre d’Alun, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Giraudon (Liliane), "« Un poème est un poème est un poème »", Le Travail de la viande, P.O.L éditeur, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Glück (Michaël), "Le poète habille le monde", …commence une phrase, éditions LansKine, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Glück (Michaël), "L'Enceinte ou le mystère des accouchements", L'Enceinte, Cadex Éditions, Collection L’Anthrope, 1993 ; rééd. 2010. (NOTE DE LECTURE) • Glück (Michaël), "Passion Canavesio | Passion-Judas", Passion Canavesio, moi, Judas, L’Amourier, Collection Grammages, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Glück (Michaël), "Pour un « usage indocile » de la poésie", Tournant le dos à, Éditions Lanskine, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Gosztola (Matthieu), "Une parfaire adéquation de la maison et du corps", Lettres-Poèmes | Correspondance avec Gaudí, Collection “Quan Garona monta”, Éditions Abordo, Bordeaux, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Gracq (Julien), Le Roi Pêcheur, Troisième acte, Bibliothèque de La Pléiade, Gallimard 1989. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Greffulhe (la comtesse) et Anna de Noailles. (ARTICLE) • Grossi (Christophe), "Amarcord", Ricordi, Éditions L’Atelier contemporain | François-Marie Deyrolle Éditeur, 2014. Dessins de Daniel Schlier. (NOTE DE LECTURE) • Guilbaud (Luce), "Mère à l’enfant", Mère ou l’autre, Tarabuste Éditeur, Collection DOUTE B.A.T., 2014. (NOTE DE LECTURE) • Guilbaud (Luce), "La couleur mauve des mots", in Danielle Fournier | Luce Guilbaud, Iris, Éditions de l’Hexagone, Montréal, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Guivarch (Cécile), "Écrire comme par effleurement", Cent ans au printemps, Les Lieux-Dits éditions, Cahiers du Loup bleu, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Guivarch (Cécile), "De l’aïeule à la descendante, une leçon d’amour", Renée, en elle, éditions Henry, Collection La Vie, comme elle va, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Guyotat (Pierre), "Elle, c'est Drusilla", Ashby, Éditions du Seuil, juin 1964, Collection folio, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Heissler (Déborah), "Blanche ou la « figure » oubliée", Les Nuits et les Jours, éditions Æncrages & Co, Collection Ecri(peind)re, 2020. Dessins de Joanna Kaiser. Préface de Cole Swensen. (NOTE DE LECTURE) • Heissler (Déborah), "Sous les silences de Blanche, une poésie de l'esquisse et de l'empreinte", Sorrowful Songs, Æncrages & Co, Collection Voix de chants, 25047 Baume-les-Dames, 2015. Dessins de Peter Maslow. Préface de Claude Chambard. (NOTE DE LECTURE) • Heissler (Déborah), "Subversion d'encre", Près d'eux, la nuit sous la neige, éditions Cheyne, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Heusbourg (François), "Traversée de la tragédie", Zone inondable, Suite, Voix des chants, éditions Æncrages & Co, Collection voix de chants, 2017. Trois reproductions en tirage numérique de Jean-Michel Marchetti. (NOTE DE LECTURE) • Holdban (Cécile A.), "« C’est le vent qui nous meut »", Toucher terre, Éditions Arfuyen, Collection « Les Cahiers d’Arfuyen » n° 238, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Howald (Isabelle Baladine), "C'était à Truinas, dans la Drôme", La Douleur du retour, La Cabane, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Howald (Isabelle Baladine), "Mouvement imperceptible, mais sûr", Mouvement d'adieu, constamment empêché, La Cabane, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Huston (Nancy), "Nancy Huston, dea ex machina", Lignes de failles, Actes Sud/Léméac, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Huynh (Sabine), "Allen Ginsberg/Sabine Huynh, Le Miroir à deux faces", Avec vous ce jour-là / Lettre au poète Allen Ginsberg, Recours au poème éditeurs, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Huynh (Sabine), "Dans le creuset des langues, « ta langue »", Kvar lo, Éditions Æncrages & Co, 2016. Encres de Caroline François-Rubino. (NOTE DE LECTURE) • Huynh (Sabine), "« Il ne me restait que la mer »", La Mer et l’Enfant, Galaade éditions, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Huynh (Sabine), "Le grand poème de la chair", Parler peau, Æncrages & Co, collection Voix de chants, 2019. Dessins de Philippe Agostini. (NOTE DE LECTURE) • Jaccottet (Philippe), "En quête de la vérité du vert", Ponge, Pâturages, Prairies, Editions Le Bruit du temps, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Jaësan (Ophélie), "Rouge lacération", Iceberg memories, roman, Actes Sud, Collection un endroit où aller, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Jaësan (Ophélie), "Sous la bogue des jours, le ravage", Le Pouvoir des écorces, suivi de La Nuit du symbole, Actes Sud, Collection un endroit où aller, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Jancar [Jančar] (Drago), "Le Christ est ressuscité", Aurore boréale, L'Esprit des péninsules, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Jancar [Jančar] (Drago), "Le temps s'arrête au lever du soleil", Cette nuit, je l’ai vue, Phébus, Collection littérature étrangère, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Jancar [Jančar] (Drago), "Dans la spirale vertigineuse de Drago Jančar", La Fuite extraordinaire de Johannes Ott, éditions Phébus, 2020. Traduit du slovène par Andrée Lück-Gaye. (NOTE DE LECTURE) • Jawad (Emmanuèle), "« Un cadre enserre, restes en lumière »", Faire le mur, Editions LansKine, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Jeanney (Christine), "Dans le bruissement granuleux de la langue", Oblique, éditions publie.net, Collection Temps réel, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Jouve (Pierre-Jean), "Pierre Jean Jouve, poète maudit ?". (ARTICLE)(EXTRAIT) • Jouve (Pierre Jean), Paulina 1880, Gallimard, Collection Folio, 1959. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Jung-Allégret (Lionel), "« Sous l'agonie, les insectes attendent »", Parallaxes, Éditions Al Manar | Alain Gorius, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Jung-Allégret (Lionel), "Le poète est-il ce « rôdeur » qui caresse le monde ?", Un instant appuyé contre le vent, Éditions Al Manar | Alain Gorius, Collection « Poésie », 2014. Encres de Jean Anguera. (NOTE DE LECTURE) • Khiari (Wahiba), "Les Misérables", Nos Silences, Editions Elyzad, Tunis, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Kiki de Montparnasse, "Kiki, Reine de Montparnasse", Souvenirs retrouvés, José Corti, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Lacamp (Ysabelle), "Kuba, Kuba… « Souviens-toi, la mort m’est indifférente » ", Ombre parmi les ombres, Éditions Bruno Doucey, Collection Sur le fil, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Ladjali (Cécile), "Le tombeau vide le chapelle Ajax", La Chapelle Ajax, Actes Sud, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Lafon (Marie-Hélène), "Entre ces deux moments-là", L'Annonce, éditions Buchet-Chastel, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Lasowski (Patrick Wald), "Carrosses et caresses", Le Traité du transport amoureux, Gallimard, 2004. (NOTE DE LECTURE) • Lawrence (D.H.), "Une curieuse tranquillité", Croquis étrusques [Sketches of Etruscan Places, 1932], Le Bruit du temps, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Lê (Linda), "La boîte de Pandore", Le Complexe de Caliban, Christian Bourgois Éditeur, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Le Dantec (Denise), "« Dans l'asyndète du monde »", La Seconde augmentée, Tarabuste éditeur, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Le Lepvrier (Corinne), "Conte de la « nouvelle seconde femme » ", Compte de femmes, Approches éditions, Collection Textes nus, janvier 2015. (NOTE DE LECTURE) • Leloup (Ghyslaine) & Noël Roch, "Le colloque singulier", Bien à vous | Une correspondance, éditions unicité, 2017. Préface d’Alain Vircondelet. (NOTE DE LECTURE) • Leopardi (Giacomo), Zibaldone, Editions Allia, 2003. (ARTICLE)(EXTRAITS) • Leroux (Marilyse), "« Le contre-chant des amants »", Le Sein de la terre, éditions La Lucarne des Écrivains, 2018. Prix Maram al-Masri 2018. (NOTE DE LECTURE) • Le Tellier (Hervé), "Erotic Sextin", La Chapelle Sextine, Estuaire, Collection Carnets littéraires, 2005. Dessins de Xavier Gorce. (NOTE DE LECTURE) • Lettres des deux amants, attribuées à Héloïse et Abélard, traduites et présentées par Sylvain Piron, Gallimard, 2005. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAITS) • Lettres nomades (Revue), "Lectures nomades", Centre littéraire « escales des lettres », Région Nord/Pas-de-Calais, nuit myrtide éditions, octobre 2011. (NOTE DE LECTURE) • Leuckx (Philippe), "La poésie de Philippe Leuckx, « un limon de passage » ", Ce long sillage du cœur, éditions La tête à l’envers, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Leuckx (Philippe), "« Une lecture du monde »", D’obscures rumeurs, Éditions Pétra, Collection Pierres écrites/L’Oiseau des runes, 2017, pp. 35-36-37. (NOTE DE LECTURE) • Leuckx (Philippe), "« Quelque chose de noir s’invite »", Poèmes du chagrin, éditions Le Coudrier, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Lévesque (Isabelle), "« Accroître le songe d’un bouquet immortel »", Chemin des centaurées, éditions L’herbe qui tremble, 2019. Peintures de Fabrice Rebeyrolle. (NOTE DE LECTURE) • Lévesque (Isabelle), " « Ce qui cesse commence » ", Le Fil de givre, éditions Al Manar, Collection Poésie, 2018. Peintures de Marie Alloy. (NOTE DE LECTURE) • Lévesque (Isabelle), "Un vacillement entre renaissance et re-création", Nous le temps l’oubli, Éditions L’herbe qui tremble, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Lévesque (Isabelle), "Dialogues d'encres", Ossature du silence, Éditions Les Deux-Siciles, Collection Poésie, 77330 Ozoir-la-Ferrière, 2012. Encres de Claude Lévesque. Préface de Pierre Dhainaut. (NOTE DE LECTURE) • Lévesque (Isabelle), "« Poème de givre pour la lumière »", Ravin des Nuits que tout bouscule, Les Écrits du Nord | Éditions Henry, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Lévesque (Isabelle), "« Vivre écrire | sans tourment » ", Voltige !, éditions L’herbe qui tremble, 2017. Peintures de Colette Deblé. Postface de Françoise Ascal. (NOTE DE LECTURE) • Lévesque (Isabelle) | Pierre Dhainaut, "Messages d’avril", La Grande Année, éditions L’herbe qui tremble, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Levi (Carlo), "« Quelque chose a vraiment changé »", Les mots sont des pierres | Voyages en Sicile, éditions Nous, Collection Via, 2015. Traduction de l’italien par Laura Brignon. (NOTE DE LECTURE) • Limongi (Laure), "La double hélice d'une écriture personnelle et engagée", Anomalie des zones profondes du cerveau, Éditions Grasset, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Limongi (Laure), "La partition en gris mineur d'une romancière virtuose", Soliste, éditions inculte, Collection inculte roman, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Loizeau (Sophie), "Les masques et bergamasques de Sophie Loizeau", Bergamonstres, Éditions L’Act Mem, collection « Passages à l’Act », 2008. (NOTE DE LECTURE) • Longenbach (James), "Résistances", Résistance à la poésie, Éditions de Corlevour, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Louis-Combet (Claude), "Celle par qui la ténèbre arrive", Blesse, ronce noire, José Corti, 1995. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Louis-Combet (Claude), "La femme, œuvre d’abstraction", Le Nu au transept, L’Atelier contemporain, François-Marie Deyrolle éditeur, 2014. Images d’Yves Verbièse. (NOTE DE LECTURE) • Louis-Combet (Claude), "Par-delà l'obscène et la dérision originelle", Suzanne et les Croûtons, L’Atelier contemporain, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Louis-Combet (Claude), "Mala Lucina", Terpsichore et autres riveraines, Fata Morgana, 2003. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Lulu (Annie), "De Iaşi à Goma, le long cheminement d’une plume métisse", La mer Noire dans les Grands Lacs, roman, éditions Julliard, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Luzi (Mario), "Primitiales", Prémices du désert, Gallimard, Collection Poésie, 2005. (ARTICLE) • Luzi (Mario), "Près de la reine de Saba", Trames, Verdier, 1986. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Machado (Ana Maria), "De la magie invisible des « alliages de mémoire »", Aux quatre vents [Aos Quatro ventos, 1993], des femmes | Antoinette Fouque, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Maïlat (Maria), "Klothô ou De l’Amnésie Balkanique", Klothô, Éditions Jacques Brémond, 1999. (NOTE DE LECTURE) + (EXTRAIT) • Makhlouf (Issa), "Là, le voyageur dénoue l'énigme des pierres, Lettre aux deux sœurs, José Corti, octobre 2008. Traduit de l’arabe (Liban) par Abdellatif Laâbi. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Malaprade (Anne), "Dans la “chambre d’écriture” d’Anne Malaprade", Lettres au corps, Éditions Isabelle Sauvage, Collection « présent (im)parfait », 2015, pp. 23-24-25. (NOTE DE LECTURE) • Mamoory (Mazin), "« Ne t’inquiète pas, mère, nous ne faisons que mourir »," Cadavre dans une maison obscure, Éditions LansKine, Collection Ailleurs est aujourd’hui, Domaine irakien, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Manon (Christophe), "« Si bien qu’au milieu de la nuit, le jour »", Au nord du futur, Éditions Nous, Collection disparate, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Maraini (Dacia), La Vie silencieuse de Marianna Ucrìa (La Lunga Vita di Marianna Ucrìa), Robert Laffont, 1997. (NOTE DE LECTURE) • Maraini (Dacia), "Bagheria, « la porte du vent »", Retour à Bagheria, Éditions du Seuil, 2004. (NOTE DE LECTURE) • Marchand (Valère-Marie), "Les non-dits qui ponctuent les rêveries lustrales", La Clef des rives, Mythologies au fil de l’eau, La Part Commune, Rennes, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Marin (Jessa), "« Les bousiers magnifiques » de Jessa Marin", Panser les rêves, éditions Les Presses du Midi, Toulon, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Marot (Sylvie), "la mémoire traversée", Lisianthus, Éditions de La Crypte, Collection Les Voix de la Crypte, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Martin (Lionel-Édouard), "Du rosier mystique à la forêt cruidienne", La Vieille au buisson de roses, Les Éditions du Vampire Actif, Collection Les Séditions, Lyon, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Massiani-Lebahar (Fabienne), "entrelacs", À deux pas de Michèle Noiret, Librairie-Galerie Racine, 2005. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Mathé (Jean-François), "Un « petit coffret de mots »", Vu, vécu, approuvé., éditions Le Silence qui roule, Collection Poésie du silence, 45190 Beaugency, 2019, page 10. (NOTE DE LECTURE) • Mauvignier (Laurent), "Le récit d’une trajectoire", Continuer, roman, Les Éditions de Minuit, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Mazzucco (Melania G.), "Lei così amata", Elle, tant aimée [Lei così amata, Rizzoli, 2000], Flammarion, 2006. (NOTE DE LECTURE) • McCullers (Carson), "L’apothéose animale du soldat Williams", Reflets dans un œil d’or, Stock, Le Livre de Poche, Collection biblio. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Meffre (Joël-Claude), "Le rêve de Cratyle", Aux alentours d’un monde, proses, éditions tituli, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Memmi (Dominique), "Le point de lumière qui libère l’écriture", Retour à Mouaden, Colonna édition, 2012. Prix du livre insulaire Ouessant 2013. (NOTE DE LECTURE) • Merini (Alda), La Folle de la porte à côté [La pazza della porta accanto, Bompiani, Milano, 1995 ; rééd. 2017], suivi de La poussière qui fait voler, conversation avec Alda Merini, éditions Arfuyen, Collection « Les vies imaginaires », 2020. (NOTE DE LECTURE) • Merle (Emmanuel), "«la couleur se fait entendre... sous l’archet»", Le Chien de Goya, Éditions Encre et lumière, 30260 Cannes-et-Clairan, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Merle (Emmanuel), " « Des mains sur des épaules comme la naissance d’une aile » ", Démembrements, éditions Voix d’Encre, 2018. Peintures Philippe Agostini. (NOTE DE LECTURE) • Merle (Emmanuel), "Ce rougeoiement qui brûle, c’est cela qui demeure", Dernières paroles de Perceval, L’Escampette Éditions, Collection Poésie, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Merle (Emmanuel), "« Il y a aussi une barque »", Tourbe, Éditions Alidades, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Meschonnic (Henri), "De la poésie osmotique d’Henri Meschonnic", Tout entier visage, Arfuyen, 2005. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Meynadier (Valéry), "« Merci pour cette femme »" , Divin danger, éditions Al Manar, Collection Erotica, 2017.NOTE DE LECTURE) • Michaux (Henri), "Première exposition Michaux". (ARTICLE)(EXTRAIT) • Michon (Pierre), "L'apôtre manquant du tableau de la Terreur", Les Onze, Éditions Verdier, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Michon (Pierre), "Pierre Michon, le roi Achab", Le roi vient quand il veut, Albin Michel, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Michon (Pierre), "Le mainate de Michon", Vie de Joseph Roulin, Éditions Verdier, 1988. (NOTE DE LECTURE) • Miller (Henry), "Trois grains d'ellébore, ma commère !", Lire aux cabinets, Editions Allia, 2000. (NOTE DE LECTURE) • Millet (Richard), "Dans l'Orient désert, quel était mon ennui ?", L’Orient désert, Mercure de France, 2007. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Modiano (Patrick), "La ballade du café triste", Dans le café de la jeunesse perdue, Éditions Gallimard, Collection blanche, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Mohone (Hélène), "Son nom d'Ishmaël dans l'Afrique déserte", L’Enfant africaine, Corpus triste, L’Amourier, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Morante (Elsa), L’Île d’Arturo [L’Isola di Arturo, 1957], Gallimard, Collection Folio, 1963. (NOTE DE LECTURE) • Morante (Elsa), Récits oubliés, Verdier, Collection « Terra d'altri », 2009, pp. 104-105-106. (NOTE DE LECTURE) • Moresco (Antonio), "De la survivance des lucioles", La Petite Lumière, roman, Éditions Verdier, Collection « Terra d’altri » dirigée par Martin Rueff, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Moses (Emmanuel), "« comme une cascade d’or »", Dona, éditions Obsidiane, Collection Le Carré des lombes, 2020. Gravures de Frédéric Couraillon. (NOTE DE LECTURE) • Moses (Emmanuel), "Jongleries talentueuses entre exultation et désespoir", Quatuor, II , Poème, Le Bruit du temps éditions, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Moses (Emmanuel), "Vers un regain de lumière/ Le voyage sotériologique d’Emmanuel Moses", Tout le monde est tout le temps en voyage, éditions Al Manar, Collection Poésie, 2020. Dessins de Tereza Lochmann. (NOTE DE LECTURE) • Moulin (Jacques), "Une histoire de “maillage à trouver”", Écrire à vue, L’Atelier contemporain & le 19, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Moulin (Jacques), "Jusqu’à l’abril d’avril", Journal de Campagne, Æncrages & Co, Collection voix de chants, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Moulin (Jacques), "« L’estuaire ouvre l’esprit »", Portique, Éditions L’Atelier contemporain, François-Marie Deyrolle éditeur, 2014. Avec 7 dessins d’Ann Loubert. (NOTE DE LECTURE) • Moussempès (Sandra), "L'écriture poétique à l'épreuve de la dépossession", Photogénie des ombres peintes, Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Negrouche (Samira), "Une métaphore de l’oasis autour de son point d’eau", Six arbres de fortune autour de ma baignoire, Éditions Mazette, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Nerval (Gérard de), "Gérard Labrunie, prince d'Aquitaine". (ARTICLE) • Nimrod, "Sous la chair du poème", L’enfant n’est pas mort, éditions Bruno Doucey, Collection Sur le fil, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Nimrod, "J’ai atteint le sud de mon être", Gens de brume, éditions Actes Sud, Collection Essences, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Nimrod, "Des noces poétiques avec le Chari", Sur les berges du Chari, district nord de la beauté, Éditions Bruno Doucey, Collection « L’autre langue », 2016. (NOTE DE LECTURE) • Nimrod, "Les genèses du lac Tchad", Le Temps liquide, récits, éditions Gallimard, Collection Continents Noirs dirigée par Jean-Noël Schifano, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Nimrod, "La dure expérience du visage", La Traversée de Montparnasse, éditions Gallimard, Collection Continents noirs, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Noailles (Anna de), « L'Offrande à la Nature », Le Cœur innombrable, in Pierre Seghers, Le Livre d'or de la poésie française, Verviers, Belgique, Gérard & Cie, s.d. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Noël (Bernard), Le Château de Cène/L’Outrage aux mots, Jean-Jacques Pauvert, 1971; rééd. 1975. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Noël (Bernard), La Langue d’Anna (roman), P.O.L, 1998. (NOTE DE LECTURE) • Noël (Bernard) | Édith Azam, "Mon nom porte le tien à la présence", Retours de langue, éditions Faï fioc, 54200 Boucq, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Noël (Florence), "En attendant « le vent sec | des rédemptions »", L’Étrangère, Bleu d’encre Éditions, 5500 Dinant (Belgique), 2017. Dessins de Sylvie Durbec.(NOTE DE LECTURE) • Noël (Florence), "La cédille du ça", Solombre, Le Taillis Pré, 6200 Châtelineau, Belgique, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Nouvel (Alain), "« Chanter seul comme une forêt »", Anton, Éditions La Chimère, 26170 Beauvoisin, octobre 2019. (NOTE DE LECTURE) • Nouvel (Alain), "« Je tourne mon regard vers dehors »", Au nom du Nord, du Sud, de l’Est et de l’Ouest, Éditions des Lisières, Collection Coléoptère, 26110 Sainte-Jalle, novembre 2016. (NOTE DE LECTURE) • Ollier (Claude), "Les mises en scène de Claude Ollier", La Mise en scène, Les éditions de Minuit, 1958 ; éditions Flammarion, collection Garnier/Flammarion, 1982. (NOTE DE LECTURE) • Orlev (Uri), "Taschenbuch, « carnet de poche »", Poèmes de Bergen-Belsen (1944), Éditions de l’éclat, 2011. Traduits par Sabine Huynh. (NOTE DE LECTURE) • Oster (Christian), "L'Homme au sable", Sur la dune, Les Éditions de Minuit, 2007. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Oumhani (Cécile), "Yeux clairs noyés", Le Café d’Yllka, Editions Elyzad/Clairefontaine, Collection "éclats de vie", Tunis, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Ovide, "Ombre romaine errante parmi les Barbares morts", Tristes Pontiques, P.O.L, 2008. Traduit du latin par Marie Darrieussecq. (NOTE DE LECTURE) • Pagano (Emmanuelle), "De tout cela qui n'existe pas, il reste...", L’Absence d’oiseaux d’eau, P.O.L éditeur, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Pagano (Emmanuelle), "La machine à tricoter-écrire d’Emmanuelle Pagano", Le Travail de mourir, Éditions Les inaperçus, 2013. Photographies de Claude Rouyer. (NOTE DE LECTURE) • Pancrazi (Jean-Noël), "D’une montagne à l’autre, une voix coule sous les mots", La Montagne, récit, Gallimard, Collection blanche, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Papin (Florent), "« C’était un songe peut-être »", Payne, éditions La tête à l’envers, 2019. Gravures de Renaud Allirand. (NOTE DE LECTURE) • Papous ([Les] Collectif), Françoise Treussard, 36 Facéties pour des Papous dans la tête, Carnets Nord/France Culture, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Pasolini (Pier Paolo), "El cuòr su l’aqua", Où est ma patrie, Escales du Nord, Le Castor Astral, 2002. (EXTRAIT)(NOTE DE LECTURE) • Pavese (Cesare), "Ripeness is all", L’Idole et autres récits | L’Idolo e altri raconti, Gallimard, Collection folio bilingue, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Pavese (Cesare), "Cesare Pavese dans la collection Quarto, une édition établie et présentée par Martin Rueff", Œuvres, Gallimard, collection Quarto, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Pecqueux-Barboni (Rennie), "À pizzà pannu, si passanu l'anni", Costumes de Corse, Pannu è panni, éditions Albiana, 2008. (NOTE DE LECTURE) • La Pensée de midi/« Qui menace qui ? » (CHRONIQUE sur le N° 19 de La Pensée de midi, novembre 2006). • La Pensée de midi/«  Beyrouth XXIe siècle » (CHRONIQUE sur le N° 20 de La Pensée de midi, mars 2007). • La Pensée de midi/« Mythologies méditerranéennes » (CHRONIQUE sur le N° 22 de La Pensée de midi, novembre 2007). • La Pensée de midi/« Tanger, ville frontière » (CHRONIQUE sur le N° 23 de La Pensée de midi, février 2008). • Perigot (Sylvana), "Dans l'écheveau de la forêt blonde", 3 balles perdues, Éditions Éoliennes et À hélice | éolienne, Collection « sombre & noire », 20200 Bastia, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Perrin (Pierre), "Je frotte les mots comme des silex", Une mère | Le cri retenu, Le cherche midi éditeur, 2001. (NOTE DE LECTURE) • Pesquès (Nicolas), "Juliau//ascension face nord", La Face nord de Juliau, deux / trois / quatre / cinq / six, André Dimanche, Editeur, 1997-2008. (NOTE DE LECTURE) • Pesquès (Nicolas), "Une jubilation de « joie noire »", La Face nord de Juliau, huit, neuf, dix, André Dimanche Éditeur, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Pesquès (Nicolas), "De l’or comme dans origine", La Face nord de Juliau, treize à seize, Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Pietri (Monique) et Sebasti (Marie-Ange), "Quelque chose de l’enfance", Villes éphémères, Jacques André éditeur, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Pigani (Paola), "Des cris pour une renaissance", La Renouée aux oiseaux, éditions La Boucherie littéraire, Collection La feuille et le fusil, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Pinson (Jean-Claude), Là, (L.-A., Loire-Atlantique), Variations autobiographiques et départementales, suivi de Frères oiseaux, éditions Joca Seria, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Pinson (Jean-Claude), "Pour en finir musaïquement avec le monde", Pastoral, De la poésie comme écologie, éditions Champ Vallon, Collection recueil, 01350 Ceyzérieu, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Pinson (Jean-Claude), "Vers un genre de livre poikilos, hybride et bariolé", Poéthique, Une autothéorie, Champ Vallon, 01420 Seyssel, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Pirandello (Luigi). (ARTICLE BIO-BIBLIOGRAPHIQUE) • Pizarnik (Alejandra), "…Ce « loup gris… la tueuse venue du lointain… »", Cahier jaune et L’Enfer musical, Ypsilon éditeur, 2012. Traduction et postface de Jacques Ancet. (NOTE DE LECTURE) • Pizarnik (Alejandra), Œuvre poétique, Actes Sud, Collection « Le cabinet de lecture » d’Alberto Manguel, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Pontalis (J.-B.), "J-F. P./J-B. P./Frères de sang", Frère du précédent, Gallimard, Collection blanche, mars 2006. (NOTE DE LECTURE) • Portante (Jean) & David Hébert, "Désesp-errance à travers les ruines", L’Aquila, Éditions des Vanneaux, collection Carnets nomades, 2015.(NOTE DE LECTURE) • Pozzi (Antonia), "Une âme en proie à l'appel des naufrages", La Vie rêvée, Journal de poésie 1929-1933, éditions Arfuyen, Collection Neige, volume 32, 2016. Traduit de l’italien par Thierry Gillybœuf. (NOTE DE LECTURE) • Prouteau (Marie-Hélène), " « La fraternité plus forte que la mort » ", Le cœur est une place forte, éditions La Part Commune, Rennes, 2019. Préface de Dominique Sampiero. (NOTE DE LECTURE) • Prouteau (Marie-Hélène), L’Enfant des vagues, Éditions Apogée, Collection Piqué d’étoiles, Rennes, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Prouteau (Marie-Hélène), "Dans la part commune des jours", La Petite Plage, Autobiographie d’un lieu, La Part Commune, Rennes, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Prouteau (Marie-Hélène), "Le point de lumière qui libère l’écriture", La Ville aux maisons qui penchent, Suites nantaises, éditions La Chambre d’échos, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Pulkkinen (Riikka), "« Il fait beau mon amour, il fait beau dans la vie »", L’Armoire des robes oubliées, roman, Éditions Albin Michel, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Quasimodo (Salvatore), « Aux branches des saules », Giorno dopo giorno in Anthologie de la poésie italienne, Bibliothèque de la Pléiade, 1994. (ARTICLE BIO-BIBLIOGRAPHIQUE)(EXTRAIT) (LIEN VERS ARCHIVE SONORE) • Quignard (Pascal), "Penser la détresse originaire", Boutès, Éditions Galilée, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Quignard (Pascal), "« Midi Médée Médite »", Medea Éditions Ritournelles, Bordeaux, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Quignard (Pascal), "Qu'est-ce que lire sinon errer", Dernier royaume, tome I, Les Ombres errantes, Grasset, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Quignard (Pascal), "Gravitations", Villa Amalia, Gallimard, Collection blanche, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Quilici (Felix). Corsica. Chants de tradition orale | Canti di tradizione orale. Chants et poésies recueillis par Felix Quilici. Transcription et traduction par Gghjuvanteramu Rocchi. Éditions Alain Piazzola, 20000 Ajaccio, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Rachilde, "De mer, d'amour et de mort", La Tour d’amour [1899], Mercure de France, 1994. (NOTE DE LECTURE) • Rakotoson (Lysiane), "« La poésie placentaire » de Lysiane Rakotoson", Dans l’enclos des hanches, Cheyne éditeur, Collection Grise, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Rankine (Claudia), Don't let me be lonely, Si toi aussi tu m’abandonnes, José Corti, Série américaine, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Raphoz (Fabienne), "« Leçons semblables aux oiseaux »", Jeux d’oiseaux dans un ciel vide, Éditions Héros-Limite, Genève, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Raphoz (Fabienne), "« J’écris, comme d’autres dansent la tarentelle » ", Parce que l’oiseau, Éditions Corti, Collection Biophilia, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Raphoz (Fabienne), "« Midi / je rejoins / l’élégie / du je / commun »", Terre sentinelle, Éditions Héros-Limite, Genève, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Rheims (Nathalie), "Tout est dans le rêve...", Le Rêve de Balthus, Fayard/Leo Scheer, 2004. (NOTE DE LECTURE) • Riboulet (Mathieu), "Hoc est corpus meum, hic est mundus", L’Amant des morts, Éditions Verdier, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Rich (Adrienne), "La poésie, « Une vieille forme subversive » ", Un atlas du monde difficile in Paroles d’un monde difficile, Poèmes 1988-2004, éditions La rumeur libre, Série mεtaphrasi | Domaine américain, 2019. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Chantal Bizzini. (NOTE DE LECTURE) • Richez (Valérie-Catherine), "Petit traité de tératologie fantasmagorique", L’Étoile enterrée, Éditions Virgile, Collection Ulysse Fin de siècle, 2004. (NOTE DE LECTURE) • Riera (Nathalie), "Au bois sacré de son corps", Variations d’herbes, Les Éditions du Petit Pois, Collection Prime Abord, Béziers, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Rodriguez-Antoniotti (Maddalena), "Bleu Conrad. Une « métaphore de l'absence »", Bleu Conrad. Le Destin méditerranéen de Joseph Conrad, Albiana, 2007. (NOTE DE LECTURE) ▪ Rodriguez-Antoniotti (Maddalena), "De la fragilité originelle de la Corse", Corse, Éloge de la ruralité, Images en Manœuvres Éditions, Marseille, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Roesz (Germain), "Du dialogue entre les mondes", La Part de la lumière, textes, poèmes, peintures de Germain Roesz, L’Atelier du Grand Tétras, 2019.(NOTE DE LECTURE) • Roubaud (Jacques), La Fleur inverse. L’art des troubadours, Les Belles Lettres, 1994. (ARTICLE) • Rougé (Erwann), "car les « galets sont sans remords »", Proëlla, éditions Isabelle Sauvage, Collection présent (im)parfait, 29410 Plounéour-Ménez, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Rousselet (Laurine), "Laisser crisser « la distance sans trébucher »", Nuit témoin, éditions Isabelle Sauvage, Collection Présent (im)parfait, 29410 Plounéour-Ménez, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Rouzeau (Valérie), "Oie rêve à l’azur", Apothicaria, Éditions Wigwam, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Rueff (Martin), "Martin Rueff, le dernier des icariens", Icare crie dans un ciel de craie, Belin, Collection L’extrême contemporain, dirigée par Michel Deguy, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Rumiz (Paolo),"« Appia, l’archétype des routes »", Appia, récit, éditions Arthaud, 2019. Traduit de l’italien par Béatrice Vierne. (NOTE DE LECTURE) • Sachs (Nelly)/Paul Celan, "Ding", Correspondance, Belin, Collection L'extrême contemporain, 1999. (NOTE DE LECTURE) • Sackville-West (Vita) (ARTICLE BIO-BIBLIOGRAPHIQUE) • Sagot Duvauroux (Caroline), "Une voix, du profond du thymos", Le Livre d’El D’où, José Corti, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Sagot Duvauroux (Caroline), "Herb'écrit", Le Vent chaule, suivi de L’Herbe écrit, José Corti, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Saïd (Amina), “Un pas vers le lieu de la réponse”, Les Saisons d’Aden, Al Manar, Collection “Poésie du Maghreb”, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Saint-Pierre (Bernardin de), Paul et Virginie, Le Livre de Poche, 1999. (ARTICLE) • Salameh (Nohad), "Femmes sous le signe de l’Apocalypse", Marcheuses au bord du gouffre, Onze figures tragiques des lettres féminines, éditions de La Lettre volée, collection Essais, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Saliceti (Sylvie-E.), "« Une neige d’encre — presque bleue — éblouissante »", Couteau de lumière, éditions Rougerie, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Sand (George), Lélia, Éditions Garnier, 1960. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Sanguinetti (Hélène), "Une petite énigme pour ce peuple de la mer", Alparegho, Pareil-à-rien, Éditions Comp’Act, 2005 ; rééd. L'ACT MEM [fonds Comp'Act], Chambéry, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Sanguinetti (Hélène), "Chanter por existar, por existar !", Et voici la chanson, Éditions de l’Amandier | Poésie, Collection Accents graves Accents aigus, novembre 2012. (NOTE DE LECTURE) • Sanguinetti (Hélène), "Chef de rien, le héros", Le Héros, Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Sappho, "Thème et variations sur Aphrodite", L'égal des dieux... , Allia. (NOTE DE LECTURE) • Sautou (Éric), "Seuls les oiseaux savent", À son défunt, éditions Faï fioc, Montpellier, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Sautou (Éric), "« (écrire c’est trembler) »," Beaupré, éditions Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Sautou (Éric), "Ce « Presque rien à se dire »", La Véranda, Éditions Unes, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Schlechter (Lambert), "à travers « fragmentements et déchirations »," Inévitables bifurcations, Le Murmure du monde/4, éditions Les doigts dans la prose, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Schwarzenbach (Annemarie), La Mort en Perse, Petite Bibliothèque Payot, 2001. (NOTE DE LECTURE) • Scotto (Fabio), "Dans la seule vérité du rien",Le Corps du sable, L'Amourier, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Scotto (Fabio), "L'été fut court", Sur cette rive [A riva, NEM, Varese, 2009], L’Amourier éditions, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Scriptorium (Le), "Hissez haut", Portrait de groupe en poésie, Éditions BoD, février 2010. (NOTE DE LECTURE) • Sebald (W.G.), Campo Santo, Actes Sud, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Sebasti (Marie-Ange), "Marie-Ange Sebasti, la Sartenaise", portrait. (ARTICLE)(BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE) • Sebasti (Marie-Ange), "En sortant de sa réserve", Cette parcelle inépuisable, Jacques André Éditeur, Collection Poésie XXI, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Sebasti (Marie-Ange), "Quelque de chose de l’enfance", Villes éphémères, Jacques André éditeur, 2007. Photographies de Monique Pietri. (NOTE DE LECTURE) • Sebbar (Leïla), "Au bout du chemin : Guantanamo", Mon cher fils, Éditions Elyzad, Clairefontaine/Tunis, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Serre (Anne), "Vivre, c'est cela", Petite table, sois mise !, Éditions Verdier, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Sibille (Roselyne), "« À la périphérie de la mort »", Entre les braises, éditions La Boucherie littéraire, Collection «  La feuille et le fusil », 2018. (NOTE DE LECTURE) • Sibille (Roselyne), "Négatif éblouissant", Lumière froissée, Voix d'encre, 2010, s.f. Encres de Liliane-Ève Brendel. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Silvain (Pierre), "Letrouvé, un gamin de l'écreigne", Julien Letrouvé colporteur, Verdier, 2007. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Soullard (Catherine), "Johnny tendresse", Johnny, éditions du Rocher, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Soullard (Catherine), "De la magie jubilatoire des mots", Vous avez Jupiter dans la poche, roman, Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Sourdillon (Jean-Marc), "Génia, la voix de la tourterelle", Les Tourterelles, La Dame d’Onze Heures, Isabelle Raviolo Éditions, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Spianti (Christine), "« C’est la lumière qui va de la terre vers le ciel »", Soleil sur fond bleu, Éditions Maurice Nadeau, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Spilmont (Jean-Pierre), "Flânerie au fil du Plat-Pays", Une saison flamande, L’Amourier éditions, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Stojka (Ceija), Je rêve que je vis ? Libérée de Bergen-Belsen, Éditions Isabelle Sauvage, Collection chaos, 2016. Traduit de l’allemand par Sabine Macher. (NOTE DE LECTURE) • Suel (Lucien), "L’abbé et le oète, lecture d’une justification", La Justification de l’abbé Lemire, éditions Faï fioc, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Svevo (Italo), La Conscience de Zeno. (NOTE DE LECTURE) • Svit (Brina), "Cela s’appelle l’aurore", Coco Dias ou la Porte Dorée, Gallimard, Collection blanche, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Svit (Brina), "L’expérience émouvante de la modestie", Le Dieu des obstacles, éditions arléa, Collection La rencontre, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Svit (Brina), "Les incertitudes du désir", Une nuit à Reykjavík, Éditions Gallimard, Collection blanche, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Svit (Brina), "Rue des illusions perdues", Con brio, Gallimard, Collection du monde entier, 1999.(NOTE DE LECTURE)(BIO-BIBLIOGRAPHIE)(PHOTOS) • Svit (Brina), "Turris eburnea", Moreno, Gallimard, 2003. (NOTE DE LECTURE)(BIO-BIBLIOGRAPHIE) • Svit (Brina), "Esprit de géométrie/esprit de finesse : une parfaite alchimie", Nouvelles définitions de l’amour, éditions Gallimard, Collection blanche, 2017. (NOTE DE LECTURE) • Svit (Brina), "D'un petit éloge, l'autre", Petit éloge de la rupture, Gallimard, Collection folio, 2009. (NOTE DE LECTURE) • Svit (Brina), Un cœur de trop, Gallimard, Collection blanche, 2006. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Svit (Brina), "Portrait de groupe avec « Gombro et vice versa »", Visage slovène, Gallimard, Collection blanche, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Swensen (Cole), "Ainsi en va-t-il de la propriété privée", Le nôtre, Éditions Corti, Série américaine, 2013. (NOTE DE LECTURE) • Tabucchi (Antonio), "Rêve de Giacomo Leopardi", Rêves de rêves, Christian Bourgois Éditeur, 1994. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Takuboku (Ishikawa), "Il est de bon ton de chanter librement ce qui nous inspire", Le Jouet triste, Arfuyen, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Tellermann (Esther), "Du premier geste à la geste d’Ariane", Corps rassemblé, éditions Unes, 2020. Vignette de couverture de Claude Garache. (NOTE DE LECTURE) • Tellermann (Esther), "L’autre côté du mourir", Éternité à coudre, éditions Unes, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Tellermann (Esther), "« La ronce est la fin et le commencement, c’est écrit »", Première version du monde, éditions Unes, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Thiria (Maud), "La forge nourricière de Maud Thiria", Blockhaus, éditions Æncrages & Co, Collection Ecri(peind)re, 2020. Encres de Jérôme Vinçon. (NOTE DE LECTURE) • Tinel (Anne-Christine), "Je suis une étrangère, irrémédiablement", Tunis, par hasard, Collection Éclats de vie, Elyzad, 2008. (NOTE DE LECTURE) • Tison (Frédéric), "Trois clés, une contreclef", Le Dieu des portes, Librairie-Galerie Racine, Collection Les Hommes sans Épaules, 2016. Prix Aliénor 2016. (NOTE DE LECTURE) • Toussaint (Jean-Philippe), "Sans trêve ni merci", Fuir, Les éditions de Minuit, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Trevisan (Vitaliano), "Dans le labyrinthe boschiérien", Les Quinze mille pas, Éditions Verdier, Collection « Terra d'altri » dirigée par Martin Rueff, 2006. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Valdés (Zoé), "Zoé Valdés, la louve de Cuba", Louves de mer, Gallimard, 2005. (NOTE DE LECTURE) • Veinstein (Alain), "Le huis clos d'un scrutateur", La Partition, éditions Grasset, 2004. (NOTE DE LECTURE) • Vercors, Le Silence de la mer, Éditions de Minuit, 1942. (ARTICLE) • Vernet (Joël), "L’écrivain-chevreuil", Carnets du lent chemin, Copeaux (1978-2016), Éditions La Rumeur libre, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Vernet (Joël), "L’infime bruissement du texte", L’oubli est une tache dans le ciel, éditions Fata Morgana, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Veschambre (Christiane), "atteindre la « libre basse langue » ", Basse langue, Éditions Isabelle Sauvage, Collection singuliers pluriel, 2016. (NOTE DE LECTURE) • Veschambre (Christiane), "Le ça de Christiane Veschambre", dit la femme dit l’enfant, éditions Isabelle Sauvage, collection singuliers pluriel, 2020. (NOTE DE LECTURE) • Veschambre (Christiane), "«Écrire nous travaille »", 'Écrire' Un caractère, Éditions Isabelle Sauvage, Collection singuliers pluriel, 2018. NOTE DE LECTURE) • Vinciguerra (Marie-Jean), "« Écrire contre le vent »", Bastion sous le vent, Colonna édition, 20167 Alata, 2011. (NOTE DE LECTURE) • Vinciguerra (Marie-Jean), "Exorciser les démons", Chroniques littéraires, La Corse à la croisée des XIXe et XXe siècles, Éditions Alain Piazzola, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Visage (Bertrand), "« Boire et être bue »", Madone, Éditions du Seuil, Collection « Cadre rouge », 2017. (NOTE DE LECTURE) • Visconti (Luchino), "Conversation Piece de Luchino Visconti". • Viton (Jean-Jacques), "Un loin, c'est une superposition", Kanaka, P.O.L. éditeur, 2006. (NOTE DE LECTURE) • Vittorini (Elio), "« Montre ta servitude »", Les Hommes et la Poussière, éditions Nous, 2018. Traduit de l’italien et présenté par Marie Fabre. (NOTE DE LECTURE) • Vittorini (Elio), "Sicilia !", Conversation en Sicile, Gallimard, 1948. (ARTICLE) • Vivien (Renée), "Qu'une vierge amoureuse est plus belle qu'un homme", La Dame à la louve, Gallimard folio, Collection Femmes de lettres, 2007. (NOTE DE LECTURE) • Voïca (Sanda), "Rester vraie dans la vérité du vent", Épopopoèmémés, éditions Impeccables, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Volterra (Anne Emmanuelle), "D’Hiroshima à Eurydice, les lendemains de « la fleur mortelle »", Scènes d’Hiroshima, Éditions LansKine, 2018. Prix Louise-Labé 2019. (NOTE DE LECTURE) • Wajsbrot (Cécile), "Dans la houle noire", Destruction, roman, éditions Le Bruit du temps, 2019. (NOTE DE LECTURE) • Wajsbrot (Cécile), "Une leçon bouleversante", Mémorial [Zulma, 2005], éditions Le Bruit du temps, 2019, suivi d’un entretien de l’auteur avec Dominique Dussidour. (NOTE DE LECTURE) • Wajsbrot (Cécile), "Un roman woolfien de haute lice", Nevermore, éditions Le Bruit du temps, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Wauters (Antoine), "« Dieu bénisse nos disparitions »", Nos mères, Éditions Verdier, 2014. (NOTE DE LECTURE) • Weber (Anne), Auguste, Le Bruit du temps, 2010, pp. 116-117-118. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAIT) • Weinzaepflen (Catherine), "Rendre le monde à son ampleur", Avec Ingeborg, Des femmes-Antoinette Fouque, 2015. (NOTE DE LECTURE) • Weinzaepflen (Catherine), "Entre rêves et eau, la fugitive", Celle-là, Des femmes-Antoinette Fouque, 2012. (NOTE DE LECTURE) • Weinzaepflen (Catherine), "Un destin d’écriture", L’Odeur d’un père, Des femmes-Antoinette Fouque, 2021. (NOTE DE LECTURE) • Weinzaepflen (Catherine), "« j’attendrai le temps d’usure d’un savon à l’ambre »", Le Rrawrr des corbeaux, éditions Flammarion, Collection Poésie/Flammarion, 2018. (NOTE DE LECTURE) • Werner David (Laurence), "Sur le tranchant des limites", À la surface de l’été, Buchet-Chastel, collection “Qui Vive”, 2013. (NOTE DE LECTURE) • White (Kenneth), "La Corse est un cosmo-poème", Corsica. L'Itinéraire des rives et des monts, Editions San Benedetto - La Marge éditions, Ajaccio. (NOTE DE LECTURE)(EXTRAITS) • Wilde (Oscar), Salomé, Paris, Gallimard, 1996. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Williams (Jonathan), "Un petit livre pour éclabousser l’autre côté de l’Atlantique", Portraits d’Amérique, Éditions Nous, Collection Now, 2013. Traduits et édités par Jacques Demarcq. Introduction de Rachel Stella. (NOTE DE LECTURE) • Woolf (Virginia), Flush : une biographie, Le Bruit du temps, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Woolf (Virginia), "Sombrer dans le bleu", Le temps passe [Times passes, 1926], Le Bruit du temps, 2010. (NOTE DE LECTURE) • Woolf (Virginia), "Virginia, lectures croisées", Joëlle Gardes, Virginia Woolf à Cassis, Editions Images En Manœuvres, 2000. (NOTE DE LECTURE) • Yourcenar (Marguerite), L’Œuvre au noir, Gallimard, Collection Folio, 1968. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Zanzotto (Andrea), Filò, la Veillée, Éditions Comp'Act, 1995. (ARTICLE)(EXTRAIT) • Zanzotto (Andrea), "« Le métronome » d’Andrea Zanzotto", Vocatif suivi de Surimpressions, Éditions Maurice Nadeau, 2016. Traduction de l’italien et présentation par Philippe Di Meo. (NOTE DE LECTURE) • Ziegler (Martin), "depuis seul", Comme il en irait du venir en souffrance, Éditions L. Mauguin, 2005. (EXTRAIT)(NOTE DE LECTURE) • Zweig (Stefan), "La folie malaise", Amok ou le Fou de Malaisie [1922], Le Livre de Poche, 1991.(ARTICLE) * Cet Index ne référence pas les courtes notices (notamment bio-bibliographiques), que l'on pourra retrouver en consultant soit l'Index alphabétique des auteurs, soit l'Index chronologique de l'éphéméride culturelle.

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